Rassegna storica del Risorgimento

La questione Ghrce e Governo Napoletano S0:
corps d'Itaiiens, je pourrais en avoir des milJiers, et dea Oalabrais sur tout, qui sont les plus pris de che-vous, et les plus habitués aux mon-tagnes. Je VOUB dis eela plutflt pour vous faire connaitre mon déBi'r, que dans l'espoir de pouvoiv le mettre en pratique. Je connois que quand bien mèrae votre gouvernement trouvoit mes offres utiles, il n'en profi-terit paB. Lea mémes caUses qui ont perdu ma patrie, l'Espagne et le Portugal ont toujours existèes et existeront toujours dans le commèn-cemenfcs des révolutions. C'est pourquoi les Nations ont rarement réus-sies d'abatre le dispotismo sans I'aide de l'étranger. Je souhaite de tout mon coeur de voir la liberto consolidée che vous, car à la circumstance d'avoir embrassée cette cause dans ma tendre jeunesse, s'en ajoute une autre : la Calabre ma province natale était la Magna Grecia .
Je vous prie Monsieur de me croire avec les sentimens de la plus haute e stime.
Londres le 30 mai 1826.
Votre serviteur très humble G. Pepe.
À Monsieur A. Maurocordato - Secrétaire du Governement Grec.
n.
E. Archivio di Stato
di Napoli (Casa Beale, f. 1660).
A S. M. B. Francois l.er Eoi des deux Siciles.
Sire,
Que votre Majestó puisse jOuir de plusieurs années de felicité et de gioire; que la nouvelle année soit heureuse pour vous Sire, pour S. M. la Beine, et pour toute la famille Boy ale, et que les sujets de V. M. puis-sent implorer le Ciel pour la conservation de vos jours, sont des voeux profondement enracinés dans mon coeur. Acceptez dono, Sire, avec votre bonte" accoutumée pour moi, l'hommage de ces sentimens les quels j'aurai toujours prie V. M. de daigner d'accueillir avant de partir d'ici, inde-pendamment de mes félicitatìons pour la nouveUe année. Soyez sur donc, gire, qne personne ne désire plus sincérement que moi votre gioire et votre boBheurj et partout où je serais, je saisirai avec empressement totites les oecasions pour y contribuer.