Rassegna storica del Risorgimento

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Cesare Vidal
Maréchal Joffre en abordant les prémices de l'Alliance (p. 64) H relève, non sans une pointe de blàme, l'étrange inertie de l'Armée serbe après l'entrée en guerre de l'ItalieI} (p. 126) et rappelle, non sans émotion, le souvenir de sa visite sur le front italien en 1915 où il apprécia beaucoup le general Cadorna il me fìt, dès la première entrevue, la meilleure impression (p. 279) je n'ai jamais eu qu'à me louer de mes relations avec lui (p. 280). Joffre ne nous apprend guère de détails inédits sur les multiples conférences militaires franco italiennes: Chantilly en décembre 1915 et en mars 1916,2) S1 Michel de Maurienne (7 novembre 1916)3) et ultime entrevue avec le general Porro, à Chantilly, le 15 novembre 1916.4) Les rapports de Clemenceau avec le Gouvernement italien, en 1918, ne furent pas toujours des plus cordiaux si l'on en croit les souvenirs des collaborateurs du Tigre . On recueille des miettes d'Histoire dans les souvenirs quotidiens du general Mordacq;,3) Le Ministère Clemenceau Journal d'un témoin (T. I et II, Paris 1930). H parait que le general Duchène, commandant de l'Armée franaise d'Italie, ne réussit pas très bien au-delà des Alpes.6) La fin du Tome Ie* évoque certaines discussions entre Clemenceau et le general Alfieri au conseil supérieur de guerre interallié de Versailles (p. 151153), assemblée prévue par l'accord de Rapallo, acte dont le general Mordacq donne le texte (p. 224-25). D'assez sérieux malentendus agitèrent les séances de cette réunion,
J) Voir la Rassegna Storica del Risorgimento, p. 1-179, scptcmbre 1936.
2) Joffre et Cadorna arretèrenl; le pian d'une offensive conjuguée itnio-rnsse polir le printewpB de 1916; les AutricMens la precèdercnt par leur attaquc duTren-tia déclanehée le 14 mai 1916 avec 18 diviaions. Joffre pressa alors l'offensive rosse (p. 288) vonlant organiscr la direction nuli taire de l'Entcnte qui était encore précaire (p. 316).
9) Joffre demanda a Cadorna de portcr, de 3 brìgadcs a 3 divisione, le corps t alien envoyé a Salonitjue.
4) On y discuta des possiLilitós d'une attaque uustro-auYniandc par la Snisse pouvant menacer Mila et de la craeslion dea prisonniers jugo-glaves.
.Chef dà Cabinet militaire du Pxésidcnt Clemenceau.
fi) Ce ehoix ne fot pas lieureux ccrat le general Mordacq.