Rassegna storica del Risorgimento

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Cesare Vidal
Mondes sur les troubles de Syracuse en 1837 1} et avec le tra-vail de De Beaumont a) sur le différend anglenapolitani (p. 240-245) termine par la médiation de Louis-Philippe, le 26 avril 1840, et suivi de l'envoi, à Paris, d'un Ambassadeur en la personne du Due de Serra Capriola. M. Amari 8) a, au contraire, sévèrement critiqué la politique sicilienne de Ferdinand II qui, en 1837, déchira l'ordonnanee de 1816, derider terme des tractations de Lord Castelreagh avec la Cour de Palerme. Il donne le texte de cette ordonnanee (p. 45-49) qui déjà, en fait, avait abrogé la constitution, le pavillon et la monnaie de l'ile. Ce livre donne l'impression d'une dia­tribe con tre l'organisation nancière, la police et la justice, telles que les concevait le Gouvernement des Bourbons. Plus impartiale, est l'étude anonyme de la Revue des Deux Mondes 4) qui passe en revue le fort et le faible, le bien et le mal de cette Monarchie absolue à l'heure où la Beine des Francais unissait les deux dynasties. Quinze ans plus tard, F. Petruccelli della Gattina,s* après les sévères déclarations de Lord Clarendon au Congrès de Paris, passa en revue les résultats du règne de Ferdinand II et le ròle de ses principaux ministres, Parisio, d'Andrea, Intontì, Fardella, le Prince de Cassaro. Il divise le règne en trois périodes: confusion, crainte et haine. Le récit curieux du procès Bossaroll et le ròle d'agent provocateur prète à Del Carretto dans la conspiration du Monaco ne sont pas à accepter sans réserves (p. 576577). Partant des travaux antérieurs, F. T. Perrens a tenté un essai de mise au point sur le règne de Ferdinand IL 6)
l> ***: Lettre du Nord et du Midi de l'Europe - La Siede, (fi. D. M. 1840).
2) HUtoire des Etats européens (ap. di.).
3) M. AMÀSI, La Sicih spus les Bourbons, Paris 1849 (108 p.).
4) ***; De la politique de la 'Franco en Italie Les Cours de Turin, de Rome et de Naples. R. D. M. 1841 (p. 824).
s) F. PETIKJCCELLI DELLA GATTINA Ferdinand II Roi de Naples (fi. D. P. 15 octobre et 15 novembre 1856).
6) F. T. PERBENS (op. cittyi Voir les chapitres Ck, Poerio et le Roi de Naples (p. 413-477) et Ruggiero Settimo et la Stette (p. 481-531).