Rassegna storica del Risorgimento

Nuove ricerche sugli mini del Pontificato di Pio IX, ecc. 1107
A Rome méme l'ira sait que eertains directeurs de rebgieuses ont invite celles-ci à prier avec fervcur pour détourner de l'Eglise les maux dont clic est menacée sous le gouvernement d'un Pontife liberal!
Et voile cottimo l'esprit de parti et les passiona en general nous aveuglent, car e est précise uieut patee que le Pape, dans une mesure méme très-limi tèe, ne pourra pas se montrer assez liberal, que l'Eglise, dans son personnel et scs interets .matériels, resterà toujonrs, en ce pays, et quoi qu'on en puisse dire ou penser, exposée aux chance* d'une revolution.
D'ailleurs, dans un gouvernement électif, et ou tout se fonde par la volonté d'un seni* qui peut empécher la volonté appelée à lui succèder, de détmire son ouvrage ? et e est en effet ce qui presque toujours est arrivé ici dans le gouvernement des eboses lemporelles.
Ma le grandi cose sperate non si vedevano. Il Rossi reiterava i suoi consigli, insisteva per mutamenti anche radicali, ma voluti e imposti dall'alto, dal Sovrano, e non strappati dalla piazza, ma non riusciva a persuadere nessuno. Si nominavano commissioni, si procedeva a tastoni e a rilento, facendo perdere al Governo l'autorità tradizionale del­l'antico senza assicurargli il vigore di uno nuovo. Supplizio di Tantalo, diceva il Rossi, per lui e per gli amici del Papa, questo dover assistere al fallimento delle speranze concepite. On a gaspillé une situation unique scriveva al Guizot . Jamais Prinee ne s'est trouvé plus maitre de toute chose que Pie IX dans les huit premiers mois de son Pon-tificat. Tout ce qu'il aurait fait aurait été accueilli avec enthousiasme. C'est pour cela que je disais: fixez donc les limites que vous voulez, mais au nom de Dieu, fixez les et exécutez sans retard votre pensée. Ma, invece, come lamenterà il Farmi, si parlava molto e si faceva poco, si mostrava animo d'innovare e si perdeva tempo nelle discussioni e nelle congregazioni, mentre l'impazienza e l'aspettativa erano gran­dissime. Troppo poca cosa e troppo facilmente soggetta a cattive inter­pretazioni la circolare Gizzi del 24 agosto per invitare tutti a studiare e a proporre i modi più acconci alla educazione del popolo, ma, soprat­tutto, per toglier via l'impressione che il Papa potesse accogliere qualche teoria, o tendenza liberale. *> Facile, quindi, il passaggio dalla confi­denza all'impazienza, dalle Iodi al biasimo, dalla quiete al fermento. E la vicinanza delle Legazioni in subbuglio faceva nascere nell'animo del nostro de Liedekerke altre preoccupazioni.
Le Gouvernement Pontificai* oinsi que les esprit sages et prévoyants, ayant recounu, cornine j'ai dejà cu l'bonneur de l'observer à Votre Excellcnce, que l'euthou* miasme, otit pour inieux dire, l'exaliatton iióvreusc- que l'acte d'amnistie avaif excité
i) FARINI, Stalo romano, voi. I, p. 168. Vedi aneliu SPADA, Storia eli., voi. I, p. 89.