Rassegna storica del Risorgimento

VITTORIO EMANUELE I RE DI SARDEGNA
anno <1943>   pagina <99>
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Un carme in lode di Vittorio Emanuele I 99
L excile dans attinti* la nowrit, l'cncourage. Son genie brillarti, sa tenére piété, Relèvent de ses traits VAuguste Majesté. Aguerris Vun et Vautre au sein de V informile. Ce compie glorieux sut vaUtcre la fortune. Le spectaele tauchant de leurs nombreaux revers Attendrit la Sardaigne, etonna l'Univers. Dernièrement encore aux bords de la Catture Ou. le pastcur ere paix vit selon la nature Un rainassis obscur de rèbelles féroces Meditait des complots et dee meurtres atroces. De renverser les loìx, de troubler tout l'État, Inspirés et conduits par un seul scelerat. Déjà sous leur fureur les poignards se preparent, A leur perfide voix tous nos pasteurs s'égarent. VÉtat est ménacé de pillage et de mort, Le Genie puissant d'Emmanuel Victor, De Charles, de Placide et l'amour et le zète Eteignent de ce feu la première etincelle. Nos guerriers, nos Marius, pleins d'une nóble ardcur, Courent sur le rivage exercer leur valeur, Le sèle leur promet une entière victoire, Quand la Jidclité leur assure la Gioire. Le trattre qui conduit la conspiration Sauna recoit la mort sous les murs de Longon, Et bientot, après lui, ses infames complices, Soni livrèe à Vhorreur des plus honteux supplices. Le Royaume bénit l'Aurore de la paix, Du trèshaut par ses chants célèbre les bienfaits. Les peuples, transportés de la plus douce yvresse, Temoignent à Venvi leur foie et leur tendresse. Le meurtrier sanglant, errant dans le désert, D'un juste chàtiment ne peut tire à couvert. Le voleur constemé tremble au nom de Iustice, Sent déjà qu'il ne peut Schapper au supplice, L*honnte homme tranquille auprès de son foyer, Cultive en paix son champ, la vigne, Volivier, Sane craindre qu'un avide et trattre usurpateur Lui vienne dérober le fruit de son sueur. Les loix. ont un appai, cet appui c'est le Thròne, Le médtam en pàlit; le corrupteur s'étonne De volt ses róbaux d'or, ses presenta repoussés Ses protégés punis, ses projets renversés. Le guerrier ne craint plus de perfides intrigues, Ni de se voir fruste du prix de ses fatigues. L'ordre renait partout, et la tranquillile Rammène Vabondance et la felicitò. Au eentre de ces biens, ceux qu'Apollon inspire. Font mentir au loin ou la flùte au la lyre. Cesse de m'agitar, cesseti Muso importune Pour chantcr les Héros votre voix trop commune Va se perdre panni tant de nobles concerie Que fentends répéter de cent cStés diversi,