Rassegna storica del Risorgimento

La politica orientale e balcanica, ecc. 153
et cerase dea peuples, qui, tfvrcs par la hideusc politique du prinec Metterai eh sana controle à 1 infiuence du Czar, sont devenua dea provinccs russes, doit chercher Pappui et Pafiiance d'une natìon civilisée. Où la trouvera-t-cue ? Dana PÀutriche? L'Autriehe, qui dana ce moment móne n'est plus qu'une expresaion hiatorique, l'Autriche s'écrou-lant, en lambcaux, PÀutriche qui ne cesserà janiais de fomenter cntre sea diversea nationalités la discorde et la haine, n'offre à son avenir ancune garantie. L'Allertiagne ? Qui pomrait, qui voudrait y penaer? Non c'est la jeune Italie, l'Italie si héroi-qnement libérale et conatitutionnelle, qui doit devenir son alliée; c'èst la Hongrie qui doit 1 aider à mettre la dernière main an grand oeuvre de sa libération et entrer pnia, avec ce ti tre, dana le sein des famiìles rovinine.", appelées, par le genie de Phistoire, à former, désormais, le boulevard contee rabsolutisme .
Così ormai la- pensavano i migliori esponenti della classe liberale ungherese: La pluralité des hongroia distingués et entre eux des hommes d'état trèa inflnents ont envisagé de cotte manière lea chosea à peine qne la revolution européenne a bouleversc Pancien ordre. Pour le prouver je ne citerai que la tenue de la presse pério-diqne, lea adresses réitérées et le fait que les troupes étaient réclamées par le gouver-nement méme, qui n'en était détourné qne plus tard par les inatancea de 1*Autriche, en perdant par cet act de faiblease beaucoup de sa popularité et aa force.
Le ragioni per cui quest'accentuata simpatia non si era ancora manifestata in fatti positivi erano varie:
Vous me demanderez peut-ètre, monsieur le comte, et avec beaucoup de rai-aon, comment s'explique que malgré certe sympathie hautement prononcée, malgré cette participation assurée à la cause italienne, pas un seni fait ne Pa prouvé. Pardonnez que je vous xéponds:
Le moment d'agir n'était pas arrivé- La diète a'est dissoute dans le moia d'avril, alléguant tous les pouvoirs au miniatère, sorti de la revolution, jusqu'à la convocation de l'Assemblée Nationale; le temps qui suivit était plein de difficultés, de crises de toutes sortes; malgré la marche chancelante malgré lea actes, quelque-fois contraires aux sentimenls de la nadon, on n'osait pas affaiblir le pouvoir. Le danger intérieur était trop grand. Rien cependant n'était negligé pour préparcr pendant ('intervalle le ter-rain, pour éclairer l'opinion publique sur les vrais intcréts du pays, vis-à-vis de la sainte et corninone cause de l'Italie et d'une alliance avec elle; je le répète: consultez le pre­mier journal hongrois qui vous tomberait dans la main, et vous verrez que ces vues, ces sentiments n'étaient que l'expression des voeux de toute la natìon .
I" L'imminente vittoria elettorale del partito liberale e nazionale doveva comunque iniziate uno fase di rapporti molto amichevoli con P Italia sul terreno dell'azione :
e C'cat donc à l'ouverture de l'Assemblée Nationalc que le moment d'agir sera arrivé. Cette Assemblée élue par Ics suffragea universcllcs est convoqués pour le 2 du moia proebain. Qttand le pouvoir sera passe des maina du gouverneinent actuel dans les votes des majoritéca, aaeuréea i nduhi tableincnt au patti vraimentliberal et national
il nc tarderà pas à se pronunce* aans réservé et sana ménagement pour des souvenirs
biatoriques en favet de l'Italie et d'une alliance avec elle. Los cvéncments de Prague, l'attìtude hostile de la Croatie et les émeutea sanglantes de Carlovitz n'en feront que rélever l'urgence; c'est alors qu'une offre franche et formelle de sécours réciproqnea de la part d'Italie, adrcasée par votre gouvernemeut, monsionr le comte, directement