Rassegna storica del Risorgimento
1848-1849 ; LIEDEKERKE DE BEAUFORT (DE) AUGUSTE ; REPUBBLICA RO
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1948
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Una fonte diplomatica, ecc. 217
Cette allocution, ou si l'on aime mièux-, còtte rcvue rétroapective, a été bien diversexnent appreciée, mais le jugcuient, me paraìt-il, la plus raisonnablc et le plus pratique que l'on ea alt porte est celuì-ci que ai au dehors elle pò uva il produke un bon effet, en revauche au dedans, et surtout daus son application aux États Fonti ficaux, ce n'était qu'un élément de plus d'irritation ajouté è tons ceux déjà exiatants.
Gomme il n'existe point d'imprimerle preciée, mais le jugement, me paraitil, le plus raisoonable et le plus pratique que Fon en ait porte est celui-ci que si au dehors elle pouvait prodiùre un bon effet, en revanche au dedans, et surtout dans son application aux Etats Pontificarne ce n'était qu'un élément de plus d'irritation ajouté à tous ceux déjà oxiatants.
En effet, quelques parolcs empreintes de cette clémence et de cette générosité qui font un prince sì grand* ainsi que l'assurance du mainticn de ces institutions liberales qu'on est trop juste pour rendre solidaires du tort de certains homrnes, cussent, je crois, produita une plus salutaire impression, et probablement romene bicn dea esprit, que de telles recrimina tions et la réaction qui se prepare dans mon voisinage ne feront qu'aigrir et eloigner davantage.
Postscriptum. L'exemplaire imprimé de l'allocution a été expédié sous bande.*)
xLin.
N, 370. Molo-deGaete, le jeudi matin 14 juin 1849
(Bateau poste, voie de Marseille). Monsieur le Ministre,
Ayant regu hier dans l'après dinée et par voie extraordinaire, vu que l*armée francasse intcrcepte maintenant toutes Ics Communications ordinaires, de nonvelles de M. Magrini jusqu'au dimanche 10 du courant, et il ne serait gnère possiblc d'cn avoir de plus fraiches, simSme Rome ne se trouvait pas, corame c'est malheureusement aujourd'bui le cas, dans une position exceptionelle, je pronte du bateau poste qui doit, dans quelques beures, toucber à Gaéte, pour les communiqucr à Votre Exccllence, regrettant seulement que la briéveté du temps m*ait obbligé de retrancber du journal de cet employé piasieurs détaila qui n'étaient pas sans intérét, et empecher d'apportcr dans ma traduction tout le som qui aurait pù la rendre plus claire.
es faits auxquels so rapportent les mformations de M. Magrini discnt d'ailleurs assez par eux-mèmes sans qu'il me soit necessaire d*y joindre aucun commentaire, me bornant seulement ajouter que M. de Corcelles, qui déjà était vena trouver une premiare foia le pape de la part du general Gavaignac est attendu aujourd'bui à Gaete, en compagnie de M. de la Tour d*Auvergne, revenu tout récemment de Paris et que la visite de ces deux Messteurs a pour but d'insÌBter de nouveau oupres de Sa Sainteté fin qu'clle maintienne le Statuì fondamenta! du 14 Mara 1848, si non dans son entiér, du moina dans ses dispositions csBcntielles, selon le vosu du parti modéré et de tous les bommes rsasonnablea.
i) Allegati: il testo latino della Allocuzione del 20 oprile Quibua, quantisque malorum (Neapoli, Ex Typograheo Fibroniano, 1849); u teato con traduzione italiana della atessa (Roma, Tip. della Rev. Cam. Apoet., 1849); una traduzione francese (Paris, Gauroe, 1849), e una Anaiysc de l'allocution prononcée par le aaint pére dans le Consiatoire aecret tenu à Gaete le 20 AvriI 1849 (manoscritta).