Rassegna storica del Risorgimento
VITTORIO AMEDEO III RE DI SARDEGNA ; PORTOGALLO
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1952
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l ittorio Amedeo ìli di Savoia nei dispacci; ecc. 9
(li una famiglia reale, che vuol essere di esempio ai sudditi: atteggiamento per il quale Vittorio Amedeo non ammette eccezioni:.
Dép. du 16 Septcmbre 1789;.- ,".. :a8k . iSa Majesté lui arati écrit qu'elle Ut verrait avec le plus grand plaisir, mais qu'elle ne ptmrait s'empècher de le prevenir que le système de Sa Royale Famille ovati tou jours été de servir de modèle et d'exemple à tous ses vassauxt système dont elle ne pouvati en aucun ras se départir, atiendu qu'elle connaissait le bien qui en resultati et le mal qui étuit la conséquence d'un procède contraire... .
Ritornando sull'argomento del Conte di Artois e della nobiltà francese che irrompe in Piemonte, il Sousa Continuo manifesta la propria diffidenza verso quella classe, che non dà molti segni di corrispondere con decoro e coscienza alla coraggiosa ospitalità offertale dal re:
Dép. du 14 Octobre 1789. n. 42. gS Son Al tesse Royale Monseigneur le Comte dArtois semble devoti- se ftiCer à Turin, càr U se confirme qu'U a loué le palaia Caraglia. Depuis quii est revenu d'Aglic il vient régulièrement tous les jours à Turati oà actuellement se trouve aussi tonte la famille de Polignac, a laquelle Son Allesse Royale est particulièrement attachée et qui pari pour Rome dàns quelques jours. Les Princes de la maison Condé, qui avaierit fati un voyage à Gènes, sont rentrés aujourd'hui tei et continueront sous peu leur voyage sur Rome. Le nombre de Francois se trouvant actuellement dans celte Capitale dopasse tonte mesure: matheureusement pour l'Auguste Roi qui les protège, aucun ne lutese entrevoir les justes motifs qui ont attirò une tette confiance; au contraire, ils prouvent peut-Stre que de leurs principes on ne pouvati attendre que les fatales conséquences qu'éprouve aujourd'hui la France..
Riprende il tema della Corsica, con informazioni sulle avide mire di varie potenze sull'Isola, coi tentativi del Piemonte di intervenire, secondo le proprie limitate possibilità, e con il rinnovato riconoscimento ufficiale francese dei diritti naturali di Genova sull'Isola:
Dép. du 18 Novembre 1789. n". 47. <s.L'Ambassadeur de France à cetle Cour, le Baron de Choiseul, soti pour cause d'ennuis avec certains Francois avec les-quels il ne s'éland pas au sujet des transactions de son propre payst, soti pour cause d'economie, soti pour la raison à laquelle beaucoup croient et que je rais indiquer, pari demain pour Gènes, où Von pense qu'U passera 20 jours ou un mote. Le motif que beaucoup de personnes indiquent quant à ce depuri est qu'on le juge chargé de négocier avec la République de Gènes au sujet de Vile de Corse; la France proposerait de la céder de nouveau cantre paiement de la part de la République de la somme alipulée dans la prévision de ce cas au traité de cession, ou bien obtenir son consentement pour que Ut France piasse la vendre et Vattener si elle trouve acheteur. On dit que VEspugne et la Russie (?) sont prétendantes à opter pour rette acquisitimi, et que catte Cour peut avoir communiqué ce futi à VAngleterre, renouvékmt les mèmes réflexions que la susdite Cour avuti dèja faites Itirs de l'acquistiion de Vile par la France, ce qui d'ailleurs interesse le pays par suite du voisinage de la Sardaigne. Encore que ces transactions semblent illusoires et rìdicules, les embarras dans lesquels se trouve cependant la France et en tenoni compte que Vile est pour ette oniireusc au lieu de lui èira utile, ce pian a peut-ètre