Rassegna storica del Risorgimento

5)4 Anthony P, Campanèlla.
pronubi*** a la UOM de poupl*, qui, pento* ni otre 6me et l'esaoeiaut a une grande infgrtune, lui foni partager dea flotta génfaeuat tenie* pour y mettre un tenne.
Et aux yeux da Journal, Charles Albert, le seidisant Ilattea* ou plot ù propo duiiH le* mote de Bolina King ' l'ubaolutiaie mene* pur Sèi préirea a paitagea In morate* aort. Dea Piémontai* fuyaieni le royautne, nu moine lem* porairement, MOI un preteste ou enne. Kit méoic temp* ebaca ludi eoe* peet y indù Ics cttoyene lea pine raepectée* et quand le filet de In peline engloba mente le gioirai Guiliet, le Journal commenta avee ptoiniime: *" Le pre­mier couscii de guerre nvnit condnmué lo general Guiliet (Pierre) à la peine de tnoft, pour avoir eberebi a aemer le division panni lee troupee soumise à aon commandement. 1/atrociti de cette acntence coatre un bomme MU* Icquel planaient à peine de légera aoupcoae, a rivolti a tei point, {ne le conscil d'tat n*a osé la confirmcn il a appliqui à ce vinirable militalie lee art. 8. 88 et 193 du code penai militaire, et l'a condannai a 1* peine de la digradatìon et à dix anneea de prison. Quelle justiee!.
Maia cea faìts d'injustice caunèrcnt panni Ics Gcnevoie de U conaler-nation eculement, puisqu'ila ne Ice conccrnerent point; oc qui pourtant lej concerna et causa la diaapprobation generale, fui le decret de CharW Albert du 1 janvìcr 1834, par lequel tout renouveUcment de paaeeporu perirne fut refuso, ninai rendant san* patrie leur posaesseur* piimontaia rcaidant temporairemeat à Genève et ncoeaaitant dea rcnonvellementa à fin de ren­tree. Cétait manifeatcuicnt un acte de rcpreaaiue* envers ceux qui oserent fuir le Piimont, ainai qu'un remède capere contro un exode continui. Si un Gencvoi* jusqu'a ce moment n'était pat plein de reaecntiment contre Ila politique de Charles Albert, tre* probablemeut il le deviai maintenant. L'article anivant intitolo Le Gouverntmeni Sarde et noi Heimailos, '* paraisaaui une aemaine avant le conunencement de L'cxpiditìon. rendit chers lea reXu-giee à leur* bete* compatissants:
Pour entretcnir aana doute uveo uotre republique dea rapporta de bon voiainagc, et pour recompcnaer le gouvernement gcneroia de aon emprea-scment à aatittfaire nux demandea quo lea autoritee aardes lui adreaaent, le gouvernement de ce paya vieni de prendre une meaurc ausai inbumaine dana aon principe, que dcaaatreuse dans aes risultata à nutre égard.
Juaqu'en 1823 le aujeta aardee étaient admia ù aijourner dana le canton de Genève, à V domidlier, a s*y marier. à y aquerir dea proprielee, et cela ur la aimple production d'un certiiìeat d'origine, c"eat a dire d'un certificai du Kvnuic de la comm une d'origine, conatatant quo le porteur c*tait rielcm-ment originaire de cette eommune, que lui, aa femme et aea enfants né et à satire, aeraicnt cn tout tempi et en toutea circonitancce recua et reeonnua dana udite eommune.
En juillet 1823, -tur lea conclusione de l'avocat fiscal Falquct, le aénat de Cbambiry prit un arrete qui déclarait nula et non avenus lea certificate d'origine, et dèXendait aux ayndica d'en donner à l'avtnir.
lì The priaat-riddea abaofotbt , Botro KlSC. Ha Ufe ef Menni, London, Dtat,
IMI.
lt>UL, 11 iaavfar 1834, Sw. 5.
9 /HA, 23 Jaavfar 1834, Ne. 10. pp. 3-4.