Rassegna storica del Risorgimento

S46 Anthony P. Campanella
Uonnairc a Savoie, choroaant à excitar cu *a fevear le* sympataira de aotxe populauoa, ot voulait qiw notte goovernameal, non seulemrnt M gardat bicn do t'opposer eoe* lui a tonte* oca intrigura, inni* ancore adoptat * co sujet l'axiome: laisses taire. In Lue passer ( qui lorsqu'il s'agit de i'mvii-sioa à maio armée d'un pay* volala, est. d'apre* le droit de* gene, une véri-tablo coopération . Il avait de lo compaaaion potar le oort dee Italica ea general, nuda quand celo concorna la Suiaae, il était d*abord pour la neutra* lite, une attitude quo le* anice* journaux coadamnerent cornine étaut de courte vile. X<e National, "* ea particulirr, attaqna lo FtdHal ainai, a Quel est l'organo de eco mauvaia cìtoyen? Si co nV*t lo Fiderai* ti co a'eot cetto fenillo de crcation aratocratique, et qui, do ea fWwnctr, s*eat moniré opposte au progres et hottilo a la liberta . Et quand le Fiderai punii* verba-tim la proclamano *) l'inaurrection de l'expéditiou. date St. Julien le 2 février, lo Journal a*abstnt prudemment, ea faiaant obaervex par contre aox Cene voi qne de la pnblicr était une aorte de deaoaoinatioa dea tigna* taire* à toutea lea polieoa europceuae* . Plus loia, il ajouta, rien ne nou* proavo qu'clle émane de ceux dont Ica noma figureat aux baa de cotte piece.... Ainai Io Journal qui ae cachait jamais aa sympataie pour la cause dea réfu-gié montra maintcnant qu'il était pina aumain quo le Federai* trai patiait pour une nùnorìto.
Ix 4 février, le jour apre* la redditioa , troia proclamatiooa nreat aensation, deux da caoton et l'antro de la confédération. La prendere fot uà e Arrété da Coniteli d'Etat accusali t Ics réfugiéa de 1) fuix la juaticc apre* Icur redditioa a la aulico cantonale; et 2) compromettre la sécurité et neutrajaté de la répnblique; à la suite duqucl toua lea réfugiéa qui ae txou-vaieat encorc dana le cantoa do Genève devaieat so présenter ù ncuf benroa du 6 février aa plus tard a la Canonie de Ckantepoulot pour assistncc ea quittant Io canton. En plus il était défeadu a tont logeur de loger aucun d'eux apri* cette date. La seconde proclamatiOB veaait dea Syndica ausai bica quc du Conferii d'Etat, et répétait aux Genevois la gravite de la ritna-tìon; non sculcmeat le torritoiro de Genève avait été viole, inaia lea désor-drea réaultanta riaqacraieat de compromettro in cenfédération tout cntièxe . Lo deridere proclamation émanait du Directoiro Federai et était adreaséo aux Syndica et au Conaeil d*Etat de Genève. Si ses contenus n'avoicnt pas cu uà tei retard et si les gonvcrnement caatonaux n'avaient pas été impli-quéa d'une maniere tuspeetc. elle aurait pu fitte efficace. Maia puisqu'ello était publiée quand l'expédition avait déjà été tolérée. pois compromiso à la derniere heure, elle n'avari poìnt do valeur sauf comme poudre aux yeax.de* pouvoir* éttanger*. Avco retard elle cxbortait se* citoyen d'opposcr, avec forco si ncoesaaire, l'entrée de tonto* pcraonnea annera dana les canton gniascs.*)
) Ut JVtfioaal Cfmwii, Journal politkfiic e litteraire, 4 février 1834, p. 1.
>)Oy avait, da fatt, nob pcvclanunJoaa: 1) aux Savoyard; 2) aox oldau Savovaxda (ea Italica et co Francala, BOA aaé) et 3) caBe cuce d-daaan. anaoacaat h eenuacnce-BMat da rtliminiliiia et rTSniation do U RepabUque. aignfo par AfaanW. Afaiajari, Ruf-fmi a Aiata.
1 Regùtro da Coasefl d*Btat ÒL, pp. 176-*: toatea le* trai procUtnaUoss panutajt atiMiàhpagaNft. 16, do Jiirnal <U Gtnh*. 6 février 1834.