Rassegna storica del Risorgimento
FRANCESCO IV DUCA DI MODENA E REGGIO ; MENOTTI CIRO
anno
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1918
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pagina
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632
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6H
G. Sforza
grand crédit. Voici comment je l'employal. Je nolisai xra navire pour débarquer sur la còte de Masse avec queiques amis. J'acbelai 1200 fusfls, 150 pistolets, deux pièces de canon. J'avancai la somme nécessaire à leur voyage à 15 italiens distiiigués qui altaleni porter lem- bras et leur intelligence à leur patrie. Enfìn au moment de quitter Marseille je devais environ 35,000 fiancar je ne devais pas un sou en arriant ; on sait assez les causes qui flrent manqner notre expédilion, ! On connalt la suite des évónemens .*
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1 In una lettera del Mialey al Menotti, stampata dal prot FRANCESCO ORIOLI [Storia delle Rivoluzioni d'Italia dal ÌS2XV], sì legger,(a''te' sica vanno ad essere sbarcati, da einquanta- a sessanta mila focili e la legione italiana. Due navi francesi sono dirette nelle acque di Livorno, dove sbarcherà U Comitato direttore dell'italiana rivoluzione. Desse saranno a disposizione del Co* inilato per il trasporto della legione e del tacili che saranno consegnati agl'italiani. Laiayette, Soult e Sebastiani in particolare anione hanno fatto osservare che le date disposMoui dovevano essere agi' italiani gran prova dell' impegno che a tempo opportuno'la arancia avrebbe manifestato a favore della indipendenza < italiana .
- In questa memoria del Misley, da lui stampata a Parigi nel '32, e non smentita da' suoi nemici, si legge pure : La revolution detratte, mes bion .-:- questrés, et pendant ce tema, mes flaiblos ressonrces B'épuisanl en Franco dans la prosoription ; néanmoins je me dois cette justice quo jamais un refugiè on Italien, Ou espaguol, ou polonais est verni trapper innillement a ma porte, et quo, qnoique pauvre mot-méme, jamais il est sorti d'auprès de moi. le maina vides. Cependant pottr payer mes dettes j'avais encore dee ressources. L'iine o'utait la dot de -ma lenirne. Elle m'on apporta une partie d'Italie, avec un deVouement .qui à'aunt rien quo de naturel pour les opoux auxquels je destine cet ceriti Je la divisai en deus parfiies, Fune fot consaorée a fàlre vivrò ma famille. l'antro a donner des acomptes a mes créaneiers : cette deridere part fnt la plus grosse, et aveo les produits d'un ouvrage [Itlfalio soas la dpminufion antrichionno, Paris, 1832] Je clinimiiai mes dettes de 9000 fr. Dana ces ontrefaiteB les óehéances d'uno partie de mes dettes arrivaient. Dana mon ombarras j'exposai nettement ma situation t au gómJral Laiayette. Cette homme excellenÉ, qui en connaissait l'origine, en. fut touche Il me dili qu'il aliati, laure des efforts pour me tirer de pein'. et * s'adressor un de ses arnia. Cet ami, c'ótalt le due d'Orléans. En effet oe prlnce me IH appeìer, me dit quii connaissait la crise où je me trouvais, les eUreonstonces honorables qui, i'avaient amenóo, et conclnt on me présontant un paquet piove qui contenni!, dix mille franca en. billets de banqne. Je refusai, ti insista, et je eros- deverà? persister dans un rofus absolu, no jugeant pas convenable aprirà ce prlnee uno obligatum d'une naturo aussi delicate, irai pour tdmoius vivanta de ce quo j'avanoe le general Marbot, aldo de camp dn duo dTh-tóans; M. Cabet, <t ox-doputé de arance, aujoni'd'liui proserit en Angleterre ; le general Hulot comto d'Osery, auxquete entr'autros personnes l'a reputo* le general Lafayette, qui le tenait au due d'Orléans: ce n'osi que par ces oeux demlera pereonnages quo