Rassegna storica del Risorgimento
1848-1849 ;"?RE (L') NOUVELLE"; CATTOLICI ; GIORNALISMO
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Bernardino Ferrari
Dopo di aver ricordato, con. parole di ammirazione* l'eroica morte del generale d'Aviemoz e lo splendido comportamento della brigata Savoia, l'articolista aggiunge:
Maintcnant, si nous recherchons les causes qui ont procure aux Autrichiens de ai grami? avantages, nous en trouvons deux principales. D'abord, les généraux piemontaig ont commis la faute capitale de laisser leurs troupes disséminées: ensuite le concert a manqué à leurs opérations. Ou leur but principal était de faire le siège de Mantoue, et alora il devaient se concentrer autour de certe place, au lieo, de séparer leur aile gauche du reste de l'armée en l'abbandono ant sur la route du Tyrol; oubienils voulaientrendre la Lombardie inaccessible à rennemi, et dans ce cas, tous leurs efforts devaient avoix pour objet de conserver la ligne du Mincio. Elle était cepcndant si mal gardée que Radet-zky la coupé quand il veut; bien plus, il recoit sana obstacle les renforts qui lui sont envoyés des provinces vénitiennes, et il se trouve bientòt à la téte de 50.000 hommes.
Avec une pareille force, il ne pouvait douter de son succès; la victoire, sur des corps d'armée dispersés, Ini appartenait d'avance. Ansai, voyez avec quelle facilitò il bat Falle gauche de l'armée piemontaise et la rejette jusqu'à Brescia! Alors, Charles-Albert a beau intervenir, il a beau multiplier les prodiges de valeur; sur les deux rives du Mincio, les Autrichiens occupent de si belles positions, et sont si nombreux, qu'il est contraint de se retìrer. Il avait compté sur le secours de deux drviions qui ne sont pas arrivées à temps, et d'un corps d'armée qui n'a point pani. Sans ces irrégularités, les chances de la bataille Ini seraient devenues favorables. Ellcs dénotent dans l'étatmajor general piémontais un défaut d'unite.
Nell'atmosfera incerta dell'agosto, mentre si riproponeva il problema, di cui tratteremo a parte, dell'intervento francese e la diplomazia franco-britannica insisteva nei suoi sforzi di mediazione, l'Ozanam riprende il giorno 19 la penna per chiarire l'opinione sua e dei suoi amici sulla situazione determinatasi in Italia. Nell'articolo De la politque qui peut sauver l'Italie et de celle qui la perdrait egli sviluppa, con l'eloquenza della convinzione, il suo tema più caro: l'esaltazione della politica spiritualista di riforme di Pio IX e la condanna di quella materialista nel suo duplice aspetto di rivoluzione e di reazione.
Ce qui avait fait la nouveauté de la politiqne de Pie IX, ce qui appela sur elle l'at-tention de l'Europe si longteznps indifferente aux conseils temporels du Vatican, c'est qu'on y reconnut ce que le monde n'a vai t pas vu depuis troia sièclcs, une politique spiritualiste.
Pie IX entreprenait de rcssusciter l'Italie par des moyens ignorés des legislateurs moderne, par la fot et par l'amour. U se proposait de re fa ire l'éducation religieuse, morale civiqne de ce peuple xenaisaant, de lo renare caparne de dévouement, de persévérance, de tout ce qui fait le* nationa Jibres, et de l'introduire enfin au gouvernement de scs affaires dana la xnesure croissante de aes lumiòrca et de scs forecs. Cette politique de l'esprit con-venait. souverainement au pontile dépositaure du pouvoir spiritual .
Dopo aver, ancora una volta, ricordato ai suoi lettori.le principali realizzazioni di questa politica nello Stato pontificio durante il biennio d'oro di Pio OC, l'Ozanam ne sottolinea anche l'efficacia propulsiva nei confronti del generale movimento italiano di rinascita:
Telle était cépendant sa puisaancu réclle, qu'el le forcali la lenteur ou le mauvais vouloir dea princes voiams, les rfduiaait a murre de loin eeii réforoies qui avoient troublé