Rassegna storica del Risorgimento

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Bernardino Ferrari
les nafions étrangères (p. 72). Richiamati alcuni precedenti storici a sostegno della sua tesi, il Hendu conclude:
A toutes ces póriodcs une adhésion exprimée ou tacite sanctionne, dans ces trans-formations successives, le pouvoìr tempore! des papes, et le soutient en le légitimant. Cette adhésion, cette adhésion seule, qu'on y songe! est pour la papauté la garantie de rindépendance; enlevant preteste aux invasions, elle ferme rentrée de lTEtat Romain, ponr étendre autour du Saint-Siège une zone de neutralité. Que cette adhésion se retire, aussitòt, la barrière tombant, l'Etàt Romain devientle champ clos où Francais, Espagnols, Autrichiens, vont se disputante dans une mélée confuse, les débris d'un pouvoir qn'ils avilissent sous prétexte de le sauvegarder. Le pouvoir temporel est forcémcnt une de ces deux choses: librement consenti, un gage de liberté; impose violemment, un istruxnent de servitude. Voila l'einseignemcnt qui, chaque jour, sous nos yeux, jaillit des faits en démonstrations éclatantes (pp. 7576).
La tesi è in fondo questa: il Potere temporale, dal Rinascimento in avanti, era sempre stato un potere di indole esclusivamente etico-religiosa, che, disponendo di scarse forze materiali, si reggeva sul libero consenso dei sudditi. Venuto meno questo, esso era destinato a cadere.
Per quanto riguarda il secondo aspetto, particolarmente difficile, del problema, le idee del Renda richiamano molto da vicino quel modo giusto e onesto che Antonio Rosmini indicava per soddisfare le aspirazioni della nazionalità italiana, senza compromettere il carattere sacro e uni­versale del pontificato. *1
Le Pape dans la situation que le pouvoir temporel lui a faite, revèt un triple carac-tère. Il est souverain-pontife, chef d'un Etat, prince italien. Ces distinctions, ce n'est pas l'esprit de parti qui les pose, c'est l'histoire...
Dans les conditions présentes du pouvoir temporel, le rdle de prince italien est en opposition directe avec la mission du Pontife: rappelezvous l'allocution di 29 avril! le chef de l'Eglise ne devait pas, ne pouvait pas faire une guerre à laquelle cependant était condamné le prince italien...
Condamnation non de Pie IX, mais du système, non de l'homme, mais de l'insti-tution, pulsane l'institation impose à l'iiomme cette redoutable alternative d'immolex le Pontife au prince, ou le prince au Pontife!
Il n'est qu'un nxoyen d'y arracher le Pape, ce moyen c'est l'établissement d'un pou­voir centrai chargé des intércts generarne de la fédération italienne, pouvoir qui prononce dans la qucstion de paìx et de guerre, et detonine du pape, en les assumant, le perii avec la rcsponsabilité (pp. 64-65).
La brochure del Rcndu, date le circostanze (proprio nello stesso mese di. settembre del '49 era stata proibita la Costituzione secondo la giustizia sociale del Rosmini), non poteva ovviamente esercitare un'influenza pra-
M II Rosmini nel 1848 chiari il suo punto di vista sull'argomento nel progetto di Costituzione inviato a Roma, quando seppe ohe Pio IX A accingeva a concederla, nella Costituzione sneondo la giustizia- sodale, completata da un'appendice Sull'Unità d'Italia, Firenze, 1848 e in una serie di articoli La Costituzione del Regno dell'Alta Italia, apparsi sul giornale dei Cavour II Risorgimento,