Rassegna storica del Risorgimento

UNGHERIA ; EMIGRAZIONE POLITICA ; FRAPOLLI LUDOVICO
anno <1960>   pagina <555>
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/Aido vico Frapolli e gli emigrati ungheresi 555
J'ai fati, comma vous savez, mon testamela à Turin et eri arrivarti à Gènes je fai depose chez un notaire de nette ville avec toutes les formalités prescrìtes par la hi sarde qui sont nombreuses et singulières. J'ai également donne toutes mes ni sposai ons à l'ègard de notre affaire des Corniches en écrivant à Paris la lettre cachetée suivant qu'il était dit dans le testamenti pour sauvegarder tous les droits des tìers. Le notaire Castelli à Gènes et Mr N. Nendle mon fonde de pouvoìrs à Paris qui a ma signature sont les personnes chargées de tout cela.
De Pretis marcite droit au but de l'unite italienne, sans hésitation et avec un grand calme, au milieu de difficultès qu'il est difficile de décrire. Il aurati besoin d'étre un peu plus soutenu par le gouvernement de la Mère Patrie cor il est setti, seul à sa tàche, au milieu de difficultès toujours croissantes; or fon peut bien aider, mime avec quelques sacrifìces, les hommes qui doivent vous assurer une province magnifique de deux miUions et demi d'habitànts.
Au sujet de la Presse, pour le cas oh ilfaudrait agir en ce qui concerne les Cor-niches, mettez vous en rapport avec Macchi (Gènes, Via novissima chez le Dr Ber* toni = et Turin Via del Corso, N 4 chez Mr Garberogtio).
Veuillez nCécrire à tonte chance, à Palerme, à l'hotel Trinacria en affraachissant (parceque je serai absent) et en priant le maitre d'hotel de vouloir bien m'expédier les lettres. N'écrivez que ce qui peut impunément alter perdu, mais assez pour me faire savoir quelque chose.
Prochainemeru vous aurea d'autres nouvelles. Turr va bien ainsi que les autres hongrois parti avec nous. Jusqu'à cotte heure je rCai pu que serrer la inaia de Garibaldi arrivé ce soir et n'ai pas parie autrement avec lui.
Une borine poignée de main à de Barbièri et à Tojfoli.
Votre ami L. Frappili 17 au tnatin
Carini vieni de me dire qu'il y a ici un nommé Cortes, VénUien, secrétaire de La Farina et tres actif et violent en ce sens. Je l'ai vu à l'oeuvre à Brescia à Modène à Turin et a Gènes. Carini me dit qu'il devra partir.
XI. Lettera di Ludovico Frapolli a Francesco Pulszky
Mon cher Pulszky Naples ce 10 7bre 1860.
Nous sommes à Naples depuis le 7 au matin. J'ai précède Garibaldi de quel* ques heures et lui-meme est arrivé à peu près seul. J'ai sitivi Vexpédition depuis le départ de Garibaldi de Palerme et après Cosenza je Pai précédée. Aujour d'Imi l'expé-rfition de Naples est finte. Nous sommes au milieu d'un ehassé-croisè dHntrigues; ne voulant pas m'y mèler je songe à rentrer. Nous aurons dome ovcasion de causer au long de tout cela.
Mais je veux Tester ici quelques jours et avant de me décider à poursuivre en Ramaglie ou à partir de suite directemenl pour Gènes je voudrais aveir de vos nou­velles et des nouvelles. de noe ajjaires. Je vous prie de m'eri donner promptement.