Rassegna storica del Risorgimento

Ludovico Frapolli e gli emigrati ungheresi 563
xrx.
Lettera di Ludovico Frapolli a Francesco Pulszky
Mon cher Pulszky Turin, 21 mai 1861.
Vous étiez bien triste il y a quelques jours; je vous sais très gai aujourdrhui.., et vous en avez de quoi; Farini et Bixio [Alex.) qui ont été me voir samedi soir me font assuré.
Je viens de voir le médecin; je ne pourraì me lever que d'ici à trois ou 4 jours. Cest dono avec désolation que je vous annonce ne pouvoir venir serrer la main à votre grand visiteur de vingt-quatre heures.
Mail. Mounier uCècrit pour la 2d'fois d'j alter d"urgerne; je ne sais ce qu'elle peut vouloir; je pense que ce doit ètre quelque chose qui regarde Maxim Ducamp Tiirr et Garibaldi. Je viens de lui télégraphier que je suis au Ut.
Faites, ne vous occupez pas de venir et aimez-moi cornine je vous aime.
Mes hommages à Mad"1* Pulszky
Tout à vous L. Frapolli
. I XX,
. Lettera di Ludovico Frapolli a Francesco Pulszky
Paris, 31 Octobre 1861 Mon cher Pulszky, 6, Rue Sto Catherine d?J3nfer.
Mes affaires sont au meme poiht. mais j'ai pris des mesures pour les rétablir; seulement il me faut le temps nécessaire; je ne puis précipiter les solutions; après une chose Vaiare.
Je comprende que le séjour de Turin, vous soit devenu odieux; à voir ce qui s'y passel
Ratazzi voit beaucoup de monde, il voit tout le monde officiel et les hommes de la Presse en general. Son séjour à Paris lui aura été très utile si en revenant à Twin il parvient à l'emporter, soit par la volente du Roi soit en se créant une majorité dans les chambres. Si, après son retour, il ne réussil pas, il aura falt ses frais inu-tilement et meme en pure perle. Néanmoìns tout le monde repète lei quHl va entrer en ministère après son retour à Turin. Uescapade de Farini avec Lonza et Min-ghetti rena une composition avec Ratazzi. tout-à-fait impossibile, et celui-ci est mis en demeure d'enlever net la position en se faisant nommer président du conseil et ministre des affaires étrangères car Nigra est mieu à son poste tei. Quant à Fa­rmi ce quHl fait ne m'étonne nuUement; c'osi, comme je vous ai toujours AU, la consequence des prémisses; il ne tombe pas dans les mains de la consorteria, il y a toujours été, il y est, il y sera plus que jamais; ca ni1 attristo car je le vois se coll­ier, et je Parme bien et dire quHl avait un si beau rSle à jouer.