Rassegna storica del Risorgimento
GARIBALDI GIUSEPPE
anno
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1960
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pagina
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579
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Autografi di Garibaldi 579
La première fois au sud du Cap Matapan. et privés par les agresseurs des provisions et des choses les plus nècessaires nous relachàmes dans le Port S. Nicolas du Cerigo,1) pour nous ravitailler.
Les pirates nous avaient enlevés jusqu'à nos souliers, et débarqué mot mente pour [il manoscritto in francese si ferma qui improvvisamente e continua come segue in un inglese scorrevole] moke ìenown our deplorable condì don to the English faptuin of a simili detachment, which happened to be in the island. An English aoldier, seeing me naked fooled, made me a present of a pair of shoes: a little gift indecd, yet a great one, tvhen I think ofit as the first ofthose many kindness-es, which attach me by slrong ties of gratitude to your noble nation !
Having put out of Port S. Nicholas, and pursuing our voyage eastward. we toere boarded by two pirates,21) voho probably awaited us, lying hidden behind the Dragonerus Islands. After having overhauled our vessel the two pirates* having lain to starboard and larboard of us, they intimated that we must put out to the tvide se, that we might not be able to gire information of their piracy ut Cerigo.
We were now reduced to such a poor condition, that we thought ourselves exempt from the avidity of depredators! By no meansl The very next day we received a visit from a skimmer of the seas, armed as a man of war, and carrving a crew [il manoscritto ora riprende di nuovo in francese] de 150 lutmmes. Le skooner, d'après Vaveu des mèntes pirates, étail commandé par Tombasi, que je ne connais pas, et qui, disait-on, faisait panie de Vescadre grecque.
Je me rappelle une circonstance dans cette troisième déprédation: et ce fut une violente dispute, entro Véquipage du pirate. Les uns voulant nous égorger, pour anéantir probablement guelconque témoins du voi. Les autres au contraire, répugnant de répandre le song innocent, s"opposérent à la résolution abominable des premiers.
3) Continuazione della Memoria.
Caprera, 13 Janvier 1870.
Us miseni les armes à la main et quelques uns des meutriers étaient déjà sautés à notre bord, Vaitagan degnine. Heureusement, pour nous le partie des plus humains prévalait; sans quoi, votre correspondant d'aujourd'hui aurait été la proiè des poissons de la mer Egèe.
A vingt et un an, fais dote cornine fon est généralemmt à cet age, de ma dose dHnsouciance, et sans la phisionomie cadaveri que de mon Capitaine qui comprenait le Grec, et qui nous expliqua ensuite la detenni nadon sanguinaire des pirates, j'aurais pris uvee indiffèrence la troisiòme piraterie camme les deux premières, maudissanl toujours le réfus de notre Commandant de nous laisser faire face cantre le premier pirate, peut-ètre les moins fon.
Le premier voteur du Cap Matapan avail eu très natureUement la précaxi-tion dténlever nos armes et nos mumdons; de manière que dans les deux cas sui-vants, nous fidoris moins que jamaU. capables de nous dòfendre.
') Oggi ICythera.
a} Equipaggi di pirati, come è chiaro dalla narrazione che segue.