Rassegna storica del Risorgimento

GARIBALDI GIUSEPPE
anno <1960>   pagina <585>
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Autografi, di Garibaldi 585
toujours, de manière que nous passdmes sans été hèU; et remorquant nolre pon-lon jusqu'au quai de Montevideo.
A moitié chendn pourtant Venigme du silence fut expliqué: une fusillade serrée panie de Vile de las Ratas. m'annoncait que nos amie avaient ite attaquis par les emharcations de Brown. Mais voyex quel prodige: Vomirai ennemi, pensant que ses navires avaient été découverts par la garnison de l'Ile, envoya ses cairota armés vers le fond de la baie de Montevideo, faire un grand détour pour attaqner Pile par derrìère.
La compagnie de gardes Nationaux, que favais laissé dans Pile, fit une belle défense et repoussa les assaillants. Pendant quelques jours, on voyait jloUer leurs cadavres dans la baie, armés encore de leurs centurons d'abordage.
Arrivé à Montevideo, je Jis pan de mon expéditton au General Pacheco. Ministre de la guerre, et nous réslàmes convenus que je repartirai de suite avec deux piloteboat (qui formaient alors notre escadrille) pour protéger File, ou au moins pour m'assurer si elle Slait encore en notre pouvoir. Je me rendis à bord et nous mtmes à la voile immédiatement.
.parrivais au vent de file de las Ratas (le vent continuant au Sud) et j'en-voyais de suite une embarcation pour m'assurer que Vile n'avait pas été prise; ce qui me causa une satisfaction immense; surtout pour la magnifique défense de nos miliciens. Au point de jour, Vennemi embossa à tir de mitratile, commenda san feu cantre Vile. L'ojficier d'artillerie qui commandait les deux pièces, répondit au feu de Vennemi; mais ayant bientòt consumè ses munitions, il se concita et fit coucher ses artilleurs sous les pièces.
IVe pouvant Tester spectateur indiférent dans une lutte si (negale, j'eus Vair de vouloir protéger l'Me; et je louvoyai donc avec mes petits navires au sud de la gauche de Vennemi, à portée de mes petùes canonades, une de douse que montai! mon vaìsseau andrai, et une de neufsur Vautre.
Tant que Vennemi ne tirait pas sur nous, la besogne allah à merveille; mais la Palmar, s'étant embossée avec son flanc au sud, commenca par me balayer te pont avec ses mitrailles d'une longue pièce de 24; et j'eus bientSt des morts et des blessés de mon petit équipage.
Ce fut alors: qu'un canot parti de la corvette anglaise, stationnaire dans le pori de Montevideo, avec son étendard déployé, vini, et se plaga entro Vescadre ennemi et nous; ordonant de cèsser le feu.
Voilà la vrai grandeur. Voilà l le juste emploie de la force ì Brown eut ordre de se ritirer de suite, et nous, nous fùmes sauvés.
Les généreuses sympathies de VAngleterre, pour un peuple malheureux, nous furent de bon augure; Varmement ensuite des legions francaìse, Anglaise, Italiennes et le concours de la France sauvèrent la petite république d'une pene presque cer-tain. Cesi vrai: que la sympathie universelle fut méritée par la revolution Itéroique du peuple de Montevideo, qui préfèra la déstruclion de la ville à la soumission hontevse, aux caprices de deux despotes. Ce siège qui fut appelé Siège de la nou-velle Troye, et qui dura plus de ludi ans prouve bien: qu'avec de courage et de la constame, on ne craint pas l'usurpalion et Vesclavage.
Qui termina la parto della memoria olle ai riferisce a Garibaldi in Sud Ame­rica. Come ai è visto gli interessava soltanto segnalare a Haweis quanto apprez­zasse la gentilezza inglese; non dice, per esempio, nulla di come soltanto la nebbia abbia favorito lo stratagemma già predisposto da Garibaldi per indurre