Rassegna storica del Risorgimento

VITTORIO EMANUELE II RE D'ITALIA ; M?HRING KARL ; GUERRA 1866
anno <1963>   pagina <94>
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94 Angelo Tamborru
Je ne saurais le dire .
Et après? Pardonnez à ma curiositi? On apprend toujours .
Après les somincls ntarqués qui soni si bien connus au Genie de Votre Mar jésté . JÌ Re a questo punto roteò i suoi occhi dì fuoco e mi guardò fisso J*au-rais poste la division Rupprecìu à Pastrengo, notre cavatene à Roverbella, une bri" gode de la garnison de Verone à Villa/ranca quej'eusse également fortijìée, une autre plus à VEst, les corps d'armée de Hartung et de Maroicic à cheval de l'Adige avec deux tùtes-de-ponts doubles .
Je vois, fé vois , interruppe il Re, Vous craigniez une doublé action. Sans Vb's appuis, si le Po n'eut pas été si gros et si mes equipages de pontons qui ne sa-vaient rien de leur besogne, s*y fussent mieux entendus, j'aurais pu Vous tenir en ftaleine, Vous fatiguer par des marches et des contremarches. A la longue Vous n'auriez pu tenir... .
Sire, il nous restail Verone, et les autres places, vous ... .
Laissezmoi ! Matheureusement Garibaldi n'avanzait guère. Il se fall vieux; au reste ses soldats ne valaient pas beaucoup; d'est de la canaille revolutionnaire qu* il fallah occuper. Mais quels coups de fortune imprévus dans cette guerre ! Vraic-ment quand fy penso, je perds la lète. J'aurais parie dix contro un quo vous alliez battre les Prussiens quo je n'aime pas du reste ils sont égotstes, vantards, jino~ tiers quej'irais vous battre, que ma flotte calderaii àfond la VStre. Mais savez-vous, votre Empereur m'a donne la rage; j*en étais malade, il fallali me saigner quatrefois. Pourtant je Calme. Il n'y a rien qui égale mon estime pour Votre Armée. Vous étes tous des braves, des bons cceurs. Mais au nom du del, pourquoi Votre Empereur m*a-til poussé dans les bras de la France? Pourquoi dédaignaiil trotter directemcnt avec moi ? Je ne pouvais jamais concevoir cela.
En traitant directement avec moi, j'aurais du acheter la force du quadrilatere avec des sacs d'argent. C'était un ade de vengeance contro moi je Vai profondé-ment senti. Pourtant diteslui que je me mets à sa disposition; dites-lui que je n'aime ni la Prusse ni la France. L'ime me harasse et m'exploite, l'autre m'irrito et mon peuple avec ses airs de protection. Rien de plus difficile pour moi, à cause de mes Italiens braillards, que la position de la gratitude. Dites-moi, mais sincè-rement, étes-Vous en effel aussi bien avec la Franco à ce que Fon dit ? .
Sire , risposi, je n'oserai jamais me donner l'air d'ètre en avara dans les secrets de la politique de notre cabinet: mais à en croire la simple logique des faits... .
Oui, oui, je comprenda, Vòtre Empereur ne saurait oublier ''59; cela lui devrait peser pourtant beaucoup moins que Sadnwa, ou commcnt ditesvous ? .
Koniggrals, Sire .
N'impone , proseguì il Re, donnex-moi Votre main; promettex-moi de lui dire ceri en personne, n'est-ce pas, Vous le ferez ? Eh, bien, dites-lui que je me mets à sa disposition avec 400.000 ou 450.000 hommes contro la Prussie; cantre... contro ... la Franco, ce serali plus difficile, aussi aiuterais je mieux que ce fut avec elle que nous allions tous les deux. Dites à VEmpereur qu"il petit se fior à ma parole. Je la donne camme Roi et soldat. L'unique chose qui