Rassegna storica del Risorgimento

VITTORIO EMANUELE II RE D'ITALIA ; M?HRING KARL ; GUERRA 1866
anno <1963>   pagina <95>
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Vittorio Emanuele II e il gen. Mdhring 95
me fosse véritablement du plaisir, c'est la guerre. Je n'aime pus à gouverner; je laisse fair* à mes ministres. Pourtanl ih viennent toujours me demandar conseil, c'est-à-dire prendre ma décision. Je les fuis autant que possible en ottani à la chasse, car il me faut le grand air, Vexercice. Je monte beaucoup à ckeval; pour la chasse j'ai toujours un cheval selle près de moi. À propos, encore une questioni. Qui aviex-Vous contro Vous-mSme à la bataille de Custozza? .
Ri sposi che schierata dietro il Tlone avevo avuto la 5a Divisione Sirtori' (Bri' gate Valtellina e Brescia). Comment s'est-il batta ce Sirtori ? chiese il Re. Fort mal, Sire, si mal que je pouvais emporter la position formidable de Sainte Lucie presque sans parte, excepté quelques hommes tués et blessés par le canon .
<c Oui, oui , interruppe il Re, Sirtori est un foutu cuistre, un ci-devant prètre. Malheureusement je dois encore garder des canailles, comme Tiirr et les uutres, dans mon armée; mais j'irai Veri débarasser bientSt .
Alla fine il Re che neW udienza delV8 novembre mi aveva ricevuto in paltò e si era degnalo di offrirmi una sedia, mi porse la mano con le parole: Adieu donc, General; on m'avait dit partout beaucoup de bien de Vous. Je trouve qu'on a dit vrai. Donnezmoi un peu de Votre amitié; nous nous reverrons. Surtout n'oubliez pus Votre Promesse .
2) Quando egli VII novembre dopo il grande pranzo di gala mi fece chiamare nel suo gabinetto dal conte Castiglione e mi intrattenne sino alle 10 1J2, il re mi disse del suo esercito:
.Que pensezVous de mon armée, franchement?.
Sire , fu la mia risposta, je pense que V armée italienne possedè d'excel-lents éléments; elle a surtout Vavantage que personne ne saurait nier de comprendre Pitalien... .
Oui, oui, une langue unilaire, c'est beaucoup. Mais je Vous dirai ce que Vous ne savezpas. Elle est encore peu disciplinée. J'ai dùfairefusiUer une vingtaine du bougremarodeurs .
Du reste , continuai, Il me semole que Vétatmajor de Votre MajSsté ne s'entend pas assez aux petits détails qui font nattre les grands succès ... .
Qu'estce que Vous voulez dire?.
a Je veux dire que les leviers de meconismo par lequel les marches, les bivouacs, le mouvement opportun des trains de vivres et de munition se font, lui échappent des mains .
Comment est-ce chez Vous? .
Sire, nous savons toni, ceci en théorie; mais nos officiers d'état-mujor en cas de besoin soni trop jeunes et nos génGraux, quoiqu'ils ne soient plus trop vieux, soni trop peu instruìis sur certains points... .
Ah, voilà ma grande dijficultù. Je nVen tirai autant que possible en tàchant que mes Généraux ne soient pas des ignorants. Un supérieur ignorant n'aànejamais des inférieurs instruiis qui Vabandonnenl souvent pour se venger ou font semblant de ne pas le comprendre .