Rassegna storica del Risorgimento
BLANC HUGUES; BUONARROTI FILIPPO MICHELE; REY JOSEPH; SOCIET? S
anno
<
1964
>
pagina
<
500
>
500
Pia Onriis Rosa
gnemcnt taut espèce d'cmploi. Il a un caractère plein d'energie et de candeur en mème teme. Malheureuscment il a une nombxcuse famille et point de fortune. N'importo, c'est un nomine à voir. Je lui inarque en outre de vous donncr une lettre pour l'abbé Farina de Parme; littérateur distingue, mais que je ne connais pas assez pour vous donner une lettre à son adresse. Mais voici le papier qui me manque. Adieu, adieu. Ma sante s'améliore, mais je me. suis ccpendant mis au regime de lait. [REY]
Milano, Archivio di Stato, Presidenza di Governo, Atti Segreti, voi. XVJil, 829.
IL
REY A MONTANABJ (Copia) Neustadt (an der Laste) 16 mai 1817.
Mon cher Docteur, quoique il y a bien. longtemps et trop lungtemps, que je n'ai recti de vos nouvclles, je ne puis croire quo je sois tout à fait effacé de votre souvenir, car on oublie dimeilement ceux a qui l'on a donne tant de marques [d'une' véritable amitié. Pour moi je conserverai toute ma vie la mémoire des jservices de tout espèce que vous m'avez: rendus, et je saisirai toutes les ocea-sions de vous en témoigner ma reconnaissan.ee. Le porteur de la présente est M. Blanc, mon oompatriote et l'un de mes meilleurs amis, que je vous recommande d'une manière particulièxe. Il voyagc pour afiaires de commerce et je regarderai comme personncl tout ce que vous pourrez faire pour renare son séjour dans votre ville utile et agréable. Que de choses se sont passées depuis nos promenadés dans la petite Isle du Po et sur les borda de ce beau fleuve !... que pensez vous, par esemplo, de mon séjour dans certe petite ville d'AJlcniagnc ?... heureuse-ment eette absence de ma patrie ne tient qu'à des affaires particulières quo M. Blanc vous cxpu'qucra.
Vemllez, mon cher Docteur, me donner un signe de vie, je vous en aurai la plus grande obligation. VeuiHez aussi me rappeler au souvenir de la famille Cur-tarelli et de tous autres braves gens qui voudront bien m'accorder un souvenir de bienveillance. Je vous embrasse de tout mon coeur en vous soubaitant toute sorte de prospéritc. Votre ami; signé REY
P. S. Je serai ici vraisemblablement pendant plusieurs mois, voici mon adresse: A. M. Rey, avocat, ebez Mine Veuvc Denis à Neustadt, cidevant Mont Tonnerre.
Je ne désespère pas de faire quelquc jours le voyage d'Italie. Quel boubeur inaurai de vous embraseer cncore une fois. Adieu.
A M. le. Docteur Montanari à Platsanoe
Milano, Àrahivìii di Stato* Atti Segreti, voi. XVLTI, annessa alla precedente Sei 16 maggio.
IH.
RBY A GUGLIEM (Copia) Neustadt (an der Laste) 16 mai 1817.
Mon cher Guglierì, vous Atea sans douto bien surpris de recevoir une lettre
de mài* et surtoiit date d'ime ville d'Alleni agno, uprès plusieurs années do silonce
-et après des ciré on* canee B qui ont Bendile Tompre les xelàtioiis les tnìenx établics;