Rassegna storica del Risorgimento

CHIALIVA ABBONDIO LETTERE; FRAPOLLI LUDOVICO LETTERE; GIOBERTI
anno <1967>   pagina <51>
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Edite et parole à l'ad resse de la Franca (1848) 51
lagune avec ceux de VAngleterre, de VAutriche et de la Sardaigne, et leurs bou-leu se chargeront de fouetter la ville des Doges coupable de s'ètre rappelée qu'elle n'était pas tudesque. Le Moniteur nous parie d'un concert européen; je ne sais si cela en est un; ce que je sais e*est qua e*est un concert hideux. Mais la Franca n*y peut rien, n'est ce pas l'Anglais qui Fa voulu?
Et U se trouvera un ministre pour dire à la tribune: La Franca a glorieu-sament donna la mairi à la pacificatici) de l'Italie. La Franca a reconquis san rang pormi les nations européennes. L'ordre règne à Milan et à Venise >. Ohi détrompez mot, cor si cela devait étre irrémissiblemen t trai, je douterais des hommes et de Dieu.
Non, ce ministre ne peut s'appeler Jti les Bastide, cor cet fiorame là, je Fatma et je Vestirne, et il font qua je puisse continuer de l'estimar cornine je Faimerai toujours!
Non, il n'y a pas da pacification da l'Italia *) sans affranchissement et sans liberta! Non, nous ne nous soumattrons pas à una tallo pacification! Nous na sarons pas Ics Ilotes du roi du Piémont comma nous l'avons cté das Espagnols et des Autriehicns. Je na ma soumettrai pas, dussé-jc ètra la saul à tenir la montagna avec una banda de brigands et mourir en maudissant la nom qui m'a até le plus char aprcs colui da mon pays, celui de la Francel
Si la Républiqua recide aujourd'hui en Italie, la République est per-due... . Ce sont les parolcs d'un reprasantant da vos amis qui fut griàvamant blessé en juin. Et ca na sarà pas ni vous ni la General Cavaignac qui seront chargés d'achever Fétablissament de la Républiqua. Voyez più tòt nos ennemis qui vous polisse ni et vous retìennent, qui font de Findcpendancc cn paroles et vous ótent Ics moyens d'en jaira en fait, qui vous compromettant aujourd'hui pour vous briser à point donne, lls n*attandant que cela, qua la honte soit complète, que la calice soit bu jusqu'à la lia. Lisaz celta lettre d'un ami dévoué que fai trouvée hier soir sur la table de ma chambrette, lorsque je revenais, triste da na vous avoir point vu; lisez-en la traduction que je joins ici. La par-sonno competente > est le roi de ce temps-ci, le prince de ceux qui regnent, M. de Rotschild en un mot, et celui qui écrit, mon ami, ast un de sas confidents:
Aujourd'hui, après qua nous nous sommes quittés, fai appris d'una sourca competente, qu'on traile avec VAutriche,'2) ici à Paris, les destinées de notre Italie et qua Ics anvoyas lombards, ou moins Fun d'eux, so trouvent melos a ecs négociations. Las basas seraient de donner la souverainaté du Lombardo-Vénitìen à un prince fils d'Ardi iduc (passe ancore si c'était sans garnison au~ trìchienna al sans dépendre de VAutriche); mais il parait qua FAutriche lian-drait garnison ò Verone et dans Ics autres forteresses, et que Vienne garderait un protactorat semblabla à colui qu'elle a sur la Hongrie.
roi également appris qua la Gouverncment Francois sa donna toutas les peines pour amener un arrangement sous monaca d'intervention, mais que ca­
li Bastide, parlant a l'Assemblée Nntionale, fil Bienne cotte formule* 2) Nona avons examinc, Hans les Arrhives du Miniatóre des Affaire Elrangóres, la correspondance écbangéc pendant Jn première nioitié d'noùt entre Bastide et flou envoyé a Vienne, Delacour. Les poinis òri indiqiiés n?y sont pns abordés. Mais il est natarel qu'ailleiirs. et notamment dans le monde des finunciera, on ait alors éohafoudó bien des combinflisons.