Rassegna storica del Risorgimento

Nuovi documenti sull'eccidio de1 fratelli Bandiera ecc. 501
Le Boi voit, dit on, auiourd' ini avec regret l'éloignement de ce diplomate. Ce n'est pas de la tendresse personnelle, mais il parait qu' on lui a représentó la rigueur plus jouvenile du Prìnce de Schwarzemberg corame devant ètre plus ìncommode et il aurait dit on essayé de raccomoder l'affaire, mais à une epoque où il n'était guère plus possible. Le Uomte de Lebzeltern va dono quitter une mìssion qu' il a géróe pendant seize ans et quoiqu' il ait été mis à disponibilité, il est probable qu? il dose par là une carrière politique qui a dure 55 ans et qui n'a pas été sans quelque cele­brate. On peut reproclier au Comte de Lebzeltern de n' avoir pas su éviter dans sa dernière mìssion un écueil fatai aui diplomates autrichiens en Italie et qui a souvent faussé leur position, à savoir ce ton doctoral que notre sùsceptibilité italienne ne nous permet pas de supporter et qui sera toujours un fort mauvais moyen de réussir.
8.
Naples, 27 mars 18M.
Aitisi que j'ai déjà eu l'honneur de vous l'annoncer par mon dernier rapport, la lévée des scellés faite en présence des personnes arrètées n'a rien appris au Gouvemement, au moins pour ce qui concerne MM. Poerio et Bozzelli, par qui Fon a commenoé Fexaruen, on leurs a rien trouvé et ils sont immédiatement sortis du secret.
9.
Napoli, li 3 aprile 1844.
H Re di Napoli ha offerto principalmente, per mezzo del Nunzio, al Sauto Padre un' intervenzione armata senza costo di spesa ; ed il Papa ha fatto ringraziare molto cortesemente, aggiungendo che lo stato delle sue Provincie non era tale da dare serie inquietudini. Questa notizia è segreta ed il Nunzio me l'ha comunicata confiden­zialmente.
Qui nel Regno tutto è di nuovo tranquillo ed ho luogo a credere che il Governo agisce attivamente per prevenire ogni qua­lunque nuovo tentativo. Gli arrestati sono usciti dal segreto, ma non di prigione. Nelle Provincie si sono ordinati lavori pubblio! che devono soccorrere la miseria pubblica. Ho detto al Principe Scilla che confidavo nelle comunicazioni che in simili circostanze i Governi si dovevano nel loro interesse fare reciprocamente, Ed