Rassegna storica del Risorgimento

BANDIERA (FRATELLI)
anno <1919>   pagina <600>
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6A . Sforza
ramation leur tentativo avait avec les sectes révolutionnaires. Ce tut toujours envain que je dirigeai mes démarches, car les person-nes auxquelles je tins ces discours me dirent toujours que ces malkeureax n'avaient donne aucune notion. Je me dirigeai égale-nient à plusieurs Légatìons et entro autre'à celle d'Autriche, qui me donna la memo róponse.
Ces jours derniers nne personne de ma confiauce me remit 1 arrét de la Cour de Cosenza et deux proclamations apportées par les Bandiera et consorts ; e'est ces pièces que j' ai V honneur de vous transraettre ci - jpint.
Par la sentence ci -joint Y. E. verrà en résumé près tout l'ensemble du procès, et je puis vous confìrmer que soit la Légation de Prusse, soit la Légation d'Autriche, représentóe actuellement par un chargé d'affaires, vu l'absence momentanee du P. Schwar-zemberg, qui est alle à Trieste pour faire sa cour à l'Empereur, m'ont assuré qu' il ne oonnaissent pas un mot de plus de ce qui est consigné dans la pièce susénoneée.
Dans cotte circostance je puis vous assurèr de la manière la plus positive que la Légation d'Autriche n' a jamais pris aucune part pour les fcères Bandiera, et que mème le Prince Sohwarzem-berg a recu de Vienne une dépéche par laquelle, d'ordre méme de l'Empereur, on lui imposait la neutralité la plus absolae. Comme on avait peut étre suppose que la conduìte de la Légation Imperiale avait ótó differente et que l'Autriche par ce moyen en avait do­mande l'extradition, je crois devoir vous signaler ce fait pour la verité de la chose, ayanb iù moi mème (d'une manière très con-fìdentielle) la dópèche susénoneée.
H
ConfidenUelU. Naples, 3 septembre 1844.J
Faisant suite à la dépéche confìdentiellè que j' ai eu Thonneur de VOUB adresser le 3 du courant 1 concernant les Oalahres, je m'empresse, monsieur le Comfce, de vous confìrmer que ce fot envain que l'on espérait tirer des renseignemens sur les mónées des révo-lutionnaires par les condamnés de Cosenza. "Une personne qui avoi-sine le Eoi et qui est toujours au courant des affaires m'a assuré que 1' on n' avait rien connu et qu 'on n'avait retrouvé sur eux aucun écrit qui pùt donner trace de leurs affìliés.
i Non del 3, ma del 2.