Rassegna storica del Risorgimento

DUE SICILIE (REGNO DELLE) ; MOTI 1820
anno <1921>   pagina <80>
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80 M. Mentimi
comptant. Vous ne pouvez presque imaginer quel chailgement j'ai réussi à produire dans les vues politiques ici. Tout autre ques-tion est mis en ardere; la politique extérfeure domine tout.
La seule chose que je craigne est, que les premiers nouvelles de l'Europe, me forceront de retourner sans aucun délai. Mais j'y suis préparé.
L'affaire le plus important e'est cet ordre dont Lemmi vous parlerà. Faites-moi-t-avoir cet ordre et je vous garantis l'iiri-tiative Ìndépendante, mème si Louis Napoléon Bonaparte réussirait d'abattre la République en France. Ce ne serai pour longtemps, f espère (1)
IX
Baltimore, 29 décembre 1851. Mon cher ami,
Je suis presque étourdi de voir comment mes pressentiments à l'égard de la France, et mes opinions à l'égard des hommes de la France se sont accomplisl C'est presque terrible, et pourtant cela me donne encore de la confiance dans ma manière de voir les choses et les hommes.
J'ai eu à Philadelphia un discours à l'égard des affaires en France. Je voudrais que vous le lisiez dans les journaux; pour que si vous en ètes accord, je sache votre opinion et pour que je puisse étre sfire que vous agissez dans la mème direction; en cas contraire, pour savoir votre direction d'agir et connattre votre opinion. (2)
En tout cas, je vous prie de me faire savoir quelle est votre tactique dans les circonstances donnés? Je regrette que vous ne m'aviez point prévenu de ce coup napoléonien. Vous m'avez promis de m'informer s'il y aura quelque chose d'un éclat prochain en
(1) Qui sono tagliate alenile linee, elio- concltiadevarro la lettera.
(2) Il discorso olio il Mazzini aveva pronunciato a Filadelfia il 26 di­cembre. Fri pirfol'l nel voli dei Seleet Speoches of KOSSUTH. condensati miri abritfifed Gy ìhi. NBWMAH; London, Irìtbner, 1852, pp. 104-107.