Rassegna storica del Risorgimento
1820 ; DUE SICILIE (REGNO DELLE) ; SPINELLI BARILE DI CARIATI G
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84 il Mengìdm .
que nous ferons, mais pour à présent vous n'avez point de la chance, à quoi bon de l'argent? .
Outre cela, j'ai trouvé les Slaveholders en masse contre moi. Et comme ils pèsent beaucoup dans l'élection, tous les deux parties par coquetterie politique intimidé d'embrasser ma cause ouverte-ment et d'en faire une cause de partie. C'est toujours les meneurs, visant à l'office, qui gàtent tout.
J'avais donc vu que je n'aurai pas de l'argent et j'aurais retourné encore en février mais g'aurait été un fiasco ; j'étais donc force de rester et de prouver que l'opinion publique, que le peuple est avec moi et je l'ai prouvé; fai changé la politique américaine; et je peu tourner la balance de l'élection, non parmi des hommes, mais parmi les parties si je le veux.
J'étais encore force de rester parce que j'avais à payer les 315.000 francs susdits. Je les ai payé, sauf 30.000 francs. Et voyant que je n'aurai point de l'argent comptant pour le commencement de la guerre, et connaissant les difficultés techniques d'irapression des notes de banque, j'avais fait faire des plates et avais fait imprimer pour 15 millions florins des banknotes hongroises. Je les ai. Enfin, j'ai un milliers des hommes braves et cent braves seamen tout prét de s'embarquer avec moi.
Voilà ce que j'ai fait en 5 mois étrangers, dans un pays étranger. C'est peu, vous dites. Vrai. Qui a fait plus en trois ans: sans avoir été contrairé par la chtite de la France, comme moi je l'étais? Enfin, c'est tout que j'été capable de faire, moi.
Voilà donc ma situation.
Sans de l'argent, point de navire; sans navire, moi je ne peux faire l'initiative.
En un mot, sans de l'argent il n' y a pas possibilité de réussir.
Je me suis arrété dans ma course de raraasser quelque misé-rable milliers par des éterneis meetings. lei je tàcherai de faire de l'argent par un autre moyen (où vous aussi vous aurez votre part à remplir). Bien que je réussis, bien que non; je quitte l'Amérique encore ce mois en tout cas.
Après vous avoir donne l'apercue de ma situation, je passe à la réponse à vos chères lettres, ami!