Rassegna storica del Risorgimento

110 M. MengMni
point étre vu par qui que ce soit, sauve vous-mème. Il retournera demain. Je dois lui donner quelque argent, pour quelque chose, qu'il aura-t-à faire là-bas, et dont je vous fairais part natureliement. Pour cela fai dispose chez M.r le General Vetter, qu'il envoie aujourd'hui meme, L. 32 à vous, pour pourvoir à une dépense. regardant l'Ita­lie. II le fera natureliement. Permettez-moi donc de vous prier de m'envoyer cette argent aussitót que l'on vous la remettra, et à ne point dire autre chose à celui qui vous l'apporterà que seulement que c'est bien . Vous savez de ma part la destination de cette argent.
Si vous pourriez me prèter un passeport pour Tfirr, soit pour la France, soit -pour la Suisse ou le Piédemont, vous m'obligerez beaucoup.
N'avez-vous pas des ordres à donner à TUrr? Vous a-t-il vu? ou bien, déslrez-vous de lui parler? Il sera-t-à vos ordres. Il est honnèt homme.
L'organisation de l'émigration en Piédemont va-t-elle?
Adieu. J'irai vous voir jeudi.
A vous de cceur.
L. KOSSUTH.
XXII
[Londres], dimanche, 10 Octobre [1852]. Cher ami,
Je n'ai recu votre lettre qu'hier soir 9 heures.
Voici la réponse pour votre Angelic Kaufmann. Est-ce que c'est une Miss ou bien Mistress.
J'irai vous voir jeudi à ou...... et de chez vous je me
rendrai à sa discretion. Vani tantum vanitas .
Vous avez quelque babillard bien inconsidéré pour correspon-dant à Turin. Si c'est ai usi que vos agents vous tiennent au cou-rant de ce que s'y passe, vous devez étre bien mal renseigné.
cit., pp. 92-93, In quegli unni firmava lo suo lettóre con l'aggiunta di ex comandante rio Ma legione ungherese in Piemonte . Yod. V Malia e Popolo. n. del 81 gennaio 1802.