Rassegna storica del Risorgimento

1820-1821 ; ELBA (ISOLA D')
anno <1921>   pagina <113>
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Luigi Koss'idh nel suo carteggio con Giuseppe Mommi 113
Outre la parti capacitativi voilàce qu'il leur dit à nos Hongrois de taire:
1. Se mettre en contact avec les patriots Italiens de manière qui va leur ètre indiqué par le portear.
2. Préparer l'en tenie dans leurs propres rangs, pour qu' ils soi-ent préparés d'agir selon les événements.
3. Ainsi préparé, attendre l'insurrection de la part du peuple, et rassurer les patriots Italiens qu'en nul cas, les Hongrois ne s'opposeront au peuple.
Je leur donne pour principe, que notre cause est commune, nous nous devons entreaider mutuellement mais que 1* initiative appartient au peuple Italien en Italie, comme au peuple Hongrois en Hongrie.
4. Aussitót qu' ils verront, qu'il ne s'agit pas des troubles pas-sagers, mais qu'il y a revolution nationale, je leur ordre de se ranger du coté du peuple, et de combattre l'enne mi cornmun.
Je prononce de la malédition contre tout Hongrois qui ne sui-vrait le drapeau tricolore.
Je leur dis que je ne serai pas loia d'eux et sitót que je verrai qu'il y a revolution, j'accourrerai au champ de bataille, et je me mettrai moi-méme à la tète de mes Hongrois, pour les con­fluire toujours combattane toujours aidant l'Italie vers la patrie. Car il se peut bien que notre chemin à nous soit de ce coté. En eas si des circonstances favorables me permettraient d'arborer le drapeau en méme temps en Hongrie je leur promets d'envoyer un commandant Hongrois de cceur et de nom.
Voilà la parti de l'appel que je vous envoie.
Adieu.
L. K.
XXIV
[Londres, .... Avril 1853].
Cfter ami,
C est justement aujourd'hui que je vous avez écrit une lettre assez longue par la poste à Mrs. Carlyle. Je ne veux donc point réitérer ce que j'y avais dit.
Quant à la France, vous la jugez bien; e'est ainsi. Pourtant on