Rassegna storica del Risorgimento

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S. Quotami
où nous en sommes jusqu' à présent; car aprés les indignités qu'on lui a fait souffrir, il n'y a point disperane qu'on lui livre des passeports pour sortii? de ce royaume.
Il est arrivò ici un Envoé diplomatique du" gouvernernent provisoire de Bologne pour reclamer l'appui de la France: en faveur de l'Italie centrale. Il à été acceilli avec politesse; mais je ne erois pàs qu' il en retire rièri; . và5e;; C'èst un Mini-Stére anti-national, qui contribuera à étouffer plutòt qu'à soute-nir la liberté italienne. Eome n'est pas encore toinbée dans les mains des Iiberaux: j'ai cependant de uouvelles pósitives que le plus grand enthousiame continue à regner dans les pays insur-gés, et qu*on est résolu d'opposer au pouvoir une résistance opi-xtitire. On m'assure en outre que jusqu'à presónt les autrichiens ne sónt entrés que dans les ótats de Modéne et de Parme; et qu'à l'exception des places de Ferrare et de Oomacchio, òu fls ont des gamisous en vertu de traités antérieurs, le reste de la Eomagne est libre de leur despotisme envanisseur. Mais sì quel-que grande puissau.ee n'éléve pas sa vojx pour tant d'innocen-tes victimes, je crains que tout ne finisse par d'éeJatants mal-heurs. Ici le bruit court que le bill de la réforme ne passera pas à votre chambre des Oommunes; ce qui afftige profonde-ment tous les amis de la liberté.
Je concois toutes vos inquiétudes sur le sort de notre ami; f ar Wé moi-mème daus les ajmetés les plus ìféekirantes. Soyez sùre, Madame, que je m*empresserai de vous transmettretoutes les uouvelles qui pourront me parvenu' sur son compte. Je eom-prends parfaitemeut bìen votre ócriture et il West Sauérent que vous m'écriviez en anglais ou en Franoais. Je vous prie de présenter mes compiimene à notre respectable M. GilÌÉjK j'e-spére que sa santo se soiii? améliorée: ne le Iaissez jamaìs a ses pensóes et à sa solitude, aun d'óviter que la tristesse ne V afr-
eaMè;
Agréez, Madame, les ?nioiages éfestlìuie et. de respect
avec lesquels j'ai Tlionneur d'ètre
Votre tres-liumble servi tour
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, . - Au moment p: rèafcuetfc* uetelettre, j'en-reeois