Rassegna storica del Risorgimento

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5. Gaeicwd
J* aurate bien voulu vous faìre ime petit smunse à Bijou, et me trouver en voitaè compagni e pendant quelques jours: raes occupations ne me Font pas permis; ear eia les quittaut, il m'en aurait eoutó le doublé de travati pour m'y remettre en-suite. Je suis ìc-i enchainé comme Prométhóe au rocher ; non pas pour avoir volò le fou devant le trone; die Jnpiter; mais pour n' avoir pas eu l'esprit de me concilier les bonnes gràees d'un roi. En tout cas je vous remeroie bien vivement de la sollecitude que vous montrez pour me taire entreprendre ce voyage.
La mort de ce pauvre lord Dillon m'a fraimenfr-afiligé: e'taìt un bon et sincere ami, qui se faisait faciloment par-donner ses petites extravagances poétiques.
Je suis ici à votre disposition, Madame: donnez-moi librement toutes les commissions dont vous pourrez me juger eapable-, et agréez les sentiments de respect et. de- -reconnaissance ave lesquéls j'ai Phonneur d'ette.
(aoùt)
Votre tres-humble et tres-obeissant Sèrvitèur
BOZZELLI.
(P. S. Je vous prie de passer 1b notre bon General le billet ci-joint).
À Monsieur Monsieur I. B. G-ilchrist
Aux Argentiéres, pres de
Dijon
8.
Mio dilettissimo amico,
Il non veder tue lettere per circa due settimane mi teneva inquieto; e mi sarei io affrettato a rompere il silenzio per far­tene un caro rimprovero, se una, api grave ma noiosa indispo­sizione di viscere sofferta negli scorsi giorni, non me lo avesse impedito, rendendomi inabile a prender la penna. Ora sto al­quanto meglio, e; mi accingo a rispondere alla tua de' 20 di questo mese, giuntami ieri sera.