Rassegna storica del Risorgimento
MISLEY ENRICO
anno
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1924
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pagina
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10
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ió - àtto Rngni
populations aux dlscordèij: et à là guerre òfyile, dalia l'espotr qu* la prostTation succederà aroti fforts- eonvulsife tki combat, et que Ics petìples harasse seront facileS; :à eùcfouner de notfveau.
Ce funestes calculs seront-ils déjoues par les hommes qui pr<- siden ux destiate de fii4è: lì feul lérery< fau;t croi re que, dignes de leu* glòÉiCuse astrai Ì? prendront an ;s<?rieux rimmor-telle consuète-- 0 pErUife, qu'ils en accepfeeront saus hèsUaiion et sans '<< <ófttmii ioutes fés cònséquencés,- 'Cqu' ils regaardcitooit domine une.:cpi!gF ! Si de vie p?' te. Frasce!; ie SaaMbottff a reeòAStruire touteS Tes: nationall;à fonder partout l'empire de la liberto, partout te triomphc M de la jiistiee.jeef sgramd iamiqite besom de l'Immanità.
L'application de ces ipsifóeùpes produirait à la France d'imnienses - a*a-mages. Elle dòifc *rouver d'alord. dans l'alliance de l'ItaiLiget de f Espagne un pouyoir- assez: fort t .ascesi homogène pour contenir-Jesf1 despotes du Nord, cit- balaaeef plus tard la preponderane des Battona' alieinandes .et slaves:, et; les ekances des eimpiètement d'un géme tur- bulent du d'ìitiè fólitique 'sàUvage. C'est par fètrolte. union de Mus les patples d'origine lafifte qu'on assurera en Europe la paix, les-prct- grès de la dwilìsatiótìi 'là' moralìté, le bienrèti-é, le trtomphe 4è la'lfr, << bertele un mot. l'ito pi re de la justice- :e 'diela vetitéi"
Si la France n'aMe pas- Jmrdìment 'les petìples voisins à sr'éman- ciper et à fonder ehez; e-iax,- fp-importe sojts qnàltè foymey. l'empire de la loi et de la justice; elle ne les entraìiie pas vìgófìfèìisenienléms sa sphére, on. peut s'attendre à révoir triès proehainement le monar- chies d'Etiropè) rétablies: efesi la jslìewltfìde die tesp. pomvoirs* ,-feu-t 8-IÌtreserOHit-elles déguiaées en monai-eMesTéonstitutionnélles; mais, quelle - :que soit la loi que les coaronnes -se *Mrat:j TSJÌ, ielle adoute* róiit: tajtmrs la propagande des Mées; ifòamgaisesj toujours? fe W (jtej leurs efiorts sera la ruine de la- FEance,- !èr-àe lum:iesi :; destruetion de la 3Kjépubgque): ce danger permanente eetté perpétuellfe nienaeè,; pai! malpé ìotiteè les iprotestafiÒflSraniicales de b diplomat-ie, malgrè les Communications officielT ;<'òmto attèuglès Si endot;. tóeurs, 1 fàut le dire hautemenl: la arance a en perspsdih? m nouvéite coàlition iarmee de tpusi 1: lil de TEmìope, .-.et elle ajkp; -yaa seul allie; il if i f :Mfe '-ì.- 'Me; pfc É- 'SetoiÉi? .aii .cause, si toutefols elle pàmtèufe cib.tenir -f iè sa pittìniljiite et .Giom.-*i :piète- gi,i:ération.
a C'est dama hi pj'évlsion d'ime guerre L//w//./wV/r et. itMtitèlct 'étl' 4 dans le but de resserrer les llens qui' castfifit etttceeuple ia*iMs: .-Ài fa peitple iitaiien,. ci an'm--d. èfe' É !' sur éà