Rassegna storica del Risorgimento
MISLEY ENRICO
anno
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1924
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pagina
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18
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tS
Givitttf Rujfini
spHt de rai'mie franpalse. dont il n'avait rien àcranio, pour le ca* fort improbable où elle auratt eu à franchir les Alpes.
S. M. pleine de bienveillance, tout eu fcroyant exagéré ce que je lui rapportai au sujet de la Hongrie, pai fort satisfaìte deVen- semble des Ipaes, ;aouvelles que je lui apportasi etnie trai ta cornine si j'eusse toujouii Itl'pés d'elle.
Encouragé par un accueìl si flattetir, et plus encpjre par la ma- gnanimitè des sentimento que Charles-Albert exprimait ec la .plus noble franchisele m'eahardis lui demander qu'il vouhìt feo -.m'expJi- quer ce qu'il entendait par une ptrìx honarable, location qui cora- mencait à jn'inquièter, car il l'avaìt répétee plusièurs ibis en me déclapglfson intention de ne déposer les. a'rmes qiti'à. cette Gonditioa.
Il me répondit sàmhcsMer PAR PAI~MOMRABLE, J-ENTENLIS
<S CEIiIJE;fpE..AURA POUR RES.m/ffSI' ÈIKMBErjiÉp UE tì3FA-EfE.
Une; ;àssurancé si franche et si formelle; presqué inatrencTùe Kgg-, tant de revei dans la bouche d'un M itaKen et nialhetireux,qui comblait tous mes voesse, qui réalisaifc Ì seve de tojaiten jgfgjj exalta si subitement Ijaon imagination et tous lessetséments;q.ul Aniinaieii- queJfèas à péiné Ila conscience de ce<uS se passatten mot. Ouand je j reviBSi de >. étourdissante èMtA'n,, Charles-Albert, m'éignàtìf t éans ses bir mémbrastt les yeox rerapn.: e SÉarmete.
Je remerciàl Ì5ieu d'àvoir souffert dix-iuiit ansles malheurs de la proscnption.
Charles-Albert avait des ennemis acharnés 1ÈM fasttf<3'atii.. -eh son ronniQ f uni se Wfféjfoìt tfnenà'eee émis- ses: prJlgèS é'te 4'ctdsé'é par l'altre noblessé IWeang. U avalè1 aussi pour enneutfsi fes 'ru- bHcawis,-qui dan M òjiuj'arite d'un roi liberatene voyant le plus V fomndabie /óBaMete à: feiigsi Sésseras.
- *< fcèS lip '.et :tei aut<g*attaquaient atree acliarneriient sji-aépntation:, ; et té; pretaient ,fe raetfons viles; -et de perfides iprojets:. Ger*almemen on ne .caloróulià. ipfe ùijusHeni-les iblfiiitìons les plus puffei' -ffifiBS plus nobles SLMTIJ ni etite.
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