Rassegna storica del Risorgimento
MISLEY ENRICO
anno
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1924
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28 Guata Ruffini
pas été entravés, réduits à se debattre dans l'impuissance, paralyséa par les. phraseuufs; oui, X Italia unirebbe .fatto da , quoi qti'efì direni nqs oppresselirs gasar Mmp .décourager, pour nons eialewf ferirne de nous raémes, et ceus qui, par envie ou par égoisme, redoutent nótre urtion, notre régénération.
i-Je:*fis bien plus: le Piemonte méìne anraiì pu lutteS contre I'Autriche en bataille et avec1 ;éspoir de vaincre si ses arniées eussent << été fortemeni organfesém*
Le couragé ne suflìt pas à la guerre, parce que les eoinbats n'en sont que la partie la plus facile. Aux vues élévées aux eombinaisons hardies, à l'habilité des chefs, il fault encore joindre la disdpBmì ce lien commini qui concentre toutes les volontés dans une setile olonté, << instrument niystérieux de force et de puissance.
',* Dans l'armée de Charles-Albert, efesi le défaut d'ensemble, l'in- capacité des unsj le mauvais vouloir des autres, et un découragement general, aggravé par quelques malheureses circonances [<p furent la cause de notre ruine, deja Imjninente longtemps avant l'armìstice de Milan
e segue poi, ad illustrare lo scopo che si proponeva e l'importanza che esso avrebbe avuta alla riprésa della guerra.*
rlye Seul moyen qui restait pour continuer ceBèguerreawee quel-, ques dhances de suecès, et avec les élérnents qui conspìraient contre le magnanime désespoir de Charles-Albert, moyen en haranonie àvèc l'étroite politique du general Cavaignatì-iet avec les méfiances du << gouvernement piémontais contre une armés républicaine, aurait été de fbrmer une légion de 25 à 30 mille volontaires congédies de l'armée francaise, avec des officiers eapables de les commander.
<t La presence de soldats francais sur le champ de bataille-' 'ftalica- aurait donne à l'Italie toutes les sympatMes de la Efeaneé, 'Bile etfMft en. dehors de jrapporcs diplomatiques, una espèce de sotidarifà entre les deìix nationSy et laissait à l'fàdecféé- et timide politiqiue du cabinet républicain un mezzo termine pour sfecusef d'une inServentìon indine recfe qu'il ne pouvait ;empé'cher.
Mtirs le fet; <le synipathie qm eette confraternita d'armes an-; rato étaèli entre les {lm n'aÉdns, tifyiflaìwt ur le <?liamp de ba- taifc n'-awifàii! permisS aacun còps plttoròtals (f'htóer, le-tìiauvafe M votìloir :aaxait iitìi par céder 4 ìresprit de' MPIÌ et la iramtm <c si elle a eiisté, conune toni le feit" txpòntìiéri- u'éìalt pas .Jjossible, car elle est toujonrs eneoaragés par fepo'fe; vefer Vimpunite.
v. Ces GOHSiderations me foilsent employ itp mes effòrts poaH