Rassegna storica del Risorgimento
MISLEY ENRICO
anno
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1924
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34 Guidò Rnffini
des convenànces monarchiqtip'-; et des eoitsefuicnees politiques M la position future chi Roi, il trouvait ùcui seuiement btenate fliais nécessaire de relever le prestige de l'autorité royale, dans un moment surtout où elle était si ébranlée par les foiettrs des partis f: par fes malheurs de la guerre;
M. le vicomte de l'I mire le coneours du maréchal, avait pu s'assurer des dispositions favorables du1 kistére francaós pour orga- niser une légion de à 30 mille homnis sortant de l'armée, et of- frait des faeìlités pour le paiemstifr es sommes wécessaires: -a. son ar- mement. C'était la réadisatìo.n 4i pian fue sfai déjà indiqué efe que j'avais muri à Paris.
M. le vrcomte m'awtefitsa' k jftre.seiiLer *z proposiììm formelle au ministère.
É Je portai cette bonne nouvelle à Charles--Albeiàt qni, à virai dire I'accfieillit froidenaent, m'annoncant que la négociation entamée àvee le general Chrìiànowski était déjà trcs avancée, et <pe le Ministèri awit la plus aveugle coniìance dans ee general, qu'il regardait cornine iiff homme d'un miémlejeraordinamfè*
Quant à ritìtérvéntion d'une légion étrangèrèv il ne me dissimula pas la crainte qiti'etle put favortser les projets des féptublicaìns.
Je erus devoff* /gombattre les préocupations de Si M; quly: sèdani à l'évìdence des raisons que je fis valoir, me chargea de les còaimu-.* niquer aux ministres.
Je ne cattnwissais que M. Pinelli, alors' minisi dg ifTnteMieur, << l'hoinme. k wioins- iirésdUiOi le moins: lifieonséquent et le :f te !Éie- gique de ceux-qui étaient au pqnvnoir.. Il me reputa à peu prèsdes obsewati.oJis que m'avait déjÉ teites le Roi, et me CO'nseflla di parler au general Alphonsc Lamarriwra, ministre de la guerre* <ìu''i'I alli-vit prevenir.
Sans hesi-ter, M. de La mar mora me déelara qiue quant an choix d'un general étranger, on avait concKt avteg le celebre ChrzanQwski ;<< (évsjnì <p' ;<panfò k Une légion lfraia.eivise-,; le FiàìiMiìfc ii'làW' fior
bèsoiB tf-'ltonmm,. pM m m<M dffi fàfiP sou* Ér Mitìt* pte << emanai* sì ènti-e homme et homme il n'existai't aueune difféteeì <r eomnie :si un mmxsoldtti sortant de. Fawnaée foincaise pouvàì tire compare a une genie de 4 i g niois. ÓU: .ai' un de ces bons pres de famille que les vièiUes et Vfdìeuses institutions du Piémoni ssra- ient laissés s'engourdir dans leurs foy-rsr pour Ics rappelij brusque-<s merit u Service iallkijre, tlont avaieat .perdu l'habittide pendant * phisieures années >?'.