42 Guido ihigmì
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depuis cinq moiSì je erois inutile de perdre mon temps cornine je vm.Wfcm de continuer à vouloir servir une cause que Pon semble mtir pris plaistP 4 per. Dieu sait ee qu'il w'en .cerale .tini ce tìio- Jnent!
Je ne repondrai donc pas à tout vee que vous me mandez dans votre longue lettre, sur notre gouvernement et sur le votre. Le vi- corate et moiij -sommes décidés a ne nous occuper de nouveau des intérets si comprorais du Roi, pie queend votre arrìvèe tri, ame ses pouvoirs nous rendra confimm, et nous perraettra d'agir avec con- cert, et awec quelques chanees de succès,
Je suis désolé de vous annoueer que la mère du vicomte est .<< moarantev.
<- Tout à vous
L. LE pialèjj
le 3* décembre 1848
Strada del Arcivescovado N. 20, Primo piano Piémont Turin
Mora cher fóislc
Je n'ai pas recu les pièces relatives à votre créance de 160.000 fi-. sur l'Infant Don Francisco, mentionnèes dans votre lettre du 25, interne'MBfoi. pas reeJFcè queOus jPffèz fait ètérer depuis d'eux moisi
Reconnaissant, corame je voùsjfi dit dans ma derni ère, liu- Ialite, de mes eflbrts et .de raes: dlfèervationsv; je iaej perdrais pas d'a- vantage mon temps a répondr ;a VIQS questions, et? à'Nag'tr dans mi seité; :à BàriSj potir épé dementi 01S .e6n;ftfàrié a Ttdirln. Tout ce que vous me dites 4e Mr. Gioberti n'altère pas notre détemtiiiiatwnv C'est un très habile écrivam; ce pèiiit ÉSté* corame ft'ous le diteci BQaTgpIlh h lent eìtoyen, un ben miriistre, smais je suismmtìfam .qù?Mr tre ipeut réparer le mal f /ous it 'sàmon. -M ffiitps- fitte-Mei* M0M TgMMQM*
Cesi ntoii qui ai force BMo et MallevJttk a se tfelite- J'espère
'ib'ien que l'imbécile Odillon J3arrot g ses eo'Pgnaes,. aweiens: 'àm
veaux, dispataStrons avanl, trois semàuies. Les débuts de Louis- fe
v* poléoft ne jwésagent ite 0P? : les siss ratlliott de vara, :<p-l 'm
VjQbteitn n'aboutirons cà /aire les plus pfssèsttieés
Je ne vis pasi les tnojrens ÉStre -inSite yos eawoes,- -eompifel menteurs w prótoMel- H P ferorg cjj ; SféS *irè, 1 ite poupn èiàè; !'À-. . -setiilB.