Rassegna storica del Risorgimento

mkm politica di Enrico Mìsky mi 8 45
de fcjiléi A mmfiéfà'ÌM0à cé 4ùe ne compriren* pas les hom- mes politiques qui perdirent ia Fratice éji SS.
J Badie :es;t (forasi <f! M. die. Sismondi, mais elle est encore palpiate d* amour four la libejg!, mrfà. et la gioire. Élte .est .eh-j ebaìivée et ensawig4*te-, mais die éjonnait eneore ses foreeS: iet ses destinéès futures. Elle est insulta* par ceux à qui elle a pèrt la carrière de tous les progrès, mais elle sent qu'elle est fai te pouf 1 cìteÉÈer de jiOJ3.veaiijr; et /' Europe rìcf.umeìfios que quand M na-* tìon qui a allume au moyen-age fe fflattibeau de la cmìsatìon ayeis '; eelui .de la liberile,: pourra jouir elle-méme de la lumière -quelle; a - ere.
V'oj'la; FÉerane, la coasolatiòM) .'li'feUtìil '.de ma vie*. Dans la .v smre ;e-ès- berne de. mes forces,, dawis, :es: icoìtes limites de mes ino- y-eu-s,;;j'ai fait tout ee que j'ai pu.pour combattre cette sanglan ter jihfcfiM' : equi nous "4iÉÉÉM<> :.gt- J'ai préféréì -me brisér contre les difficultés de << notré éraancipation, hctireux de souffrir pouriTiudpfiiadaaee de 'fìca- Ile-, ice fut-elle pour notre generation qu' une, chimère, que de: tester speetateu?: patieiil e è- ;oisÈf de-1 on humiUation.
<< Mes eflbrtS, cependant. n'ont pas, é tenles pour i ;,eoeur. XJs-m'oat laissé coiivaiseu de la cefttttde de notte émaapation ; ite m'ont démontré- :qiue fes. moyens. de .lloMenir sont faeiiles, et cette convinction m'a rempli cP'àtìé dóucé1 séeurité .